Le Premier ministre a annoncé mercredi les grandes lignes de la réforme des institutions voulue par Emmanuel Macron. Parmi les annonces d'Édouard Philippe figurent la réduction du nombre de députés et sénateurs, l'introduction de 15% de proportionnelle aux législatives, la transformation du Conseil économique, social et environnemental ainsi que la limitation à 3 mandats successifs. Cette réforme est-elle justifiée ?