Daniel Picouly : "Moi en 68 j'admirais mon père !"
Daniel Picouly raconte dans "68, mon amour" (éd. Grasset) SON mai 68 : il avait 20 ans et admirait son père qui suait sang et eau pour payer les études de ses enfants. Aujourd'hui Daniel Picouly s'inscrit en faux contre une sorte de théorie officielle qui entretient une nostalgie des évènements de 68.
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