Le Fil d'Ariane du 10/02

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Les aphrodisiaques qui ont marqué l’Histoire
Pour réveiller la libido de leurs partenaires, les Carolingiennes leur faisaient manger du pain qu’elles préalablement pétri avec leur fesses ! Elles leur cuisinaient également un poisson qu’elles avaient étouffé dans leur vagin, moyen efficace apparemment pour accroître leur excitation.
Il y a quelque temps, le Pentagone avait envisagé de développer une bombe "aphrodisiaque". Une bombe contenant un produit chimique au puissant effet aphrodisiaque qui entraînerait en cas de conflit armé, «un comportement homosexuel» censé affecter «le moral et la discipline des unités ennemies». Le laboratoire Wright de l’armée de l’air à Dayton (Ohio, nord) aurait même réclamé 7,5 millions de dollars pour développer cette bombe !
Sous Louis XVI, la veille du mariage, le futur marié devait prendre un bain de fumier pour prévenir toutes pannes sexuelles !
Un peu plus dur cette fois, dans l’antiquité, si l’on récupérait le foie d’un jeune homme tué en état d’excitation, il s’agissait alors du plus précieux et puissant aphrodisiaque possible.
Encore aujourd’hui, dans certaines régions du Brésil, on prépare toujours le fameux "café d’amour". La demoiselle prépare un café à son amant en le filtrant dans une de ses petites culottes qu’elle porte….là encore il y aurait un pouvoir aphrodisiaque notoire.
Les aphrodisiaques qui ont marqué l’Histoire

Pour réveiller la libido de leurs partenaires, les Carolingiennes leur faisaient manger du pain qu’elles préalablement pétri avec leur fesses ! Elles leur cuisinaient également un poisson qu’elles avaient étouffé dans leur vagin, moyen efficace apparemment pour accroître leur excitation.
Il y a quelque temps, le Pentagone avait envisagé de développer une bombe "aphrodisiaque". Une bombe contenant un produit chimique au puissant effet aphrodisiaque qui entraînerait en cas de conflit armé, «un comportement homosexuel» censé affecter «le moral et la discipline des unités ennemies». Le laboratoire Wright de l’armée de l’air à Dayton (Ohio, nord) aurait même réclamé 7,5 millions de dollars pour développer cette bombe !
Sous Louis XVI, la veille du mariage, le futur marié devait prendre un bain de fumier pour prévenir toutes pannes sexuelles !
Un peu plus dur cette fois, dans l’antiquité, si l’on récupérait le foie d’un jeune homme tué en état d’excitation, il s’agissait alors du plus précieux et puissant aphrodisiaque possible.
Encore aujourd’hui, dans certaines régions du Brésil, on prépare toujours le fameux "café d’amour". La demoiselle prépare un café à son amant en le filtrant dans une de ses petites culottes qu’elle porte….là encore il y aurait un pouvoir aphrodisiaque notoire.
Il est doté d’une queue divine !
Chandre, un cueilleur de thé âgé de 35 ans qui vit en Inde, est considéré comme un Dieu dans son pays.
Pourquoi ? Parce qu’il possède une queue de 37 centimètres en bas des reins juste au-dessus des fesses. Une excroissance composée de poils faisant penser à la queue d’un signe.
Des croyants de tout le pays se déplacent chez lui dans l’espoir de toucher sa queue et de recevoir des bénédictions.
Selon un médecin local, pour sa part, il ne s’agirait pas d’un dieu, mais d’une victime d’un défaut congénital. Sa queue serait en fait une variation du spina bifida, en d’autres termes, la non fermeture de la colonne vertébrale au bas du dos.
Même si les médecins lui recommandent de se faire opérer, Chandre refuse catégoriquement expliquant que lorsqu’il était enfant, sa mère lui avait déjà coupé et il était tombé gravement malade dans la foulée. Un signe pour lui que sa queue est bien divine et qu’il ne faut surtout pas y toucher.
Il est doté d’une queue divine !

Chandre, un cueilleur de thé âgé de 35 ans qui vit en Inde, est considéré comme un Dieu dans son pays.
Pourquoi ? Parce qu’il possède une queue de 37 centimètres en bas des reins juste au-dessus des fesses. Une excroissance composée de poils faisant penser à la queue d’un signe.
Des croyants de tout le pays se déplacent chez lui dans l’espoir de toucher sa queue et de recevoir des bénédictions. Selon un médecin local, pour sa part, il ne s’agirait pas d’un dieu, mais d’une victime d’un défaut congénital. Sa queue serait en fait une variation du spina bifida, en d’autres termes, la non fermeture de la colonne vertébrale au bas du dos.
Même si les médecins lui recommandent de se faire opérer, Chandre refuse catégoriquement expliquant que lorsqu’il était enfant, sa mère lui avait déjà coupé et il était tombé gravement malade dans la foulée. Un signe pour lui que sa queue est bien divine et qu’il ne faut surtout pas y toucher.
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