Le fil d'Ariane du 18/01
Le gène de la garce
Une équipe de scientifiques vient de démontrer qu'il existerait un gène de l'infidélité et tous les médias américains ont repris en chœur la jolie expression de "slut gene", littéralement parlant « le gène de la salope ».
En fait, ce n'est même pas vraiment un gène de la tromperie, mais plutôt une disposition chromosomique qui pousserait celui qui la porterait à plus avoir envie de coucher avec n'importe qui.
C'est à la State University of New York que ce gène, DRD4, a été étudié sous cet angle.
En général, ce gène nous pousserait à prendre des risques et à chercher des sensations fortes ; il aurait une influence sur notre cerveau au niveau du système de récompense et de la sécrétion de dopamine.
Un Chinois raconte sa nuit d'amour avec une extraterrestre aux poils de jambes tressés
Trois mètres de haut, douze doigts et du poil tressé aux jambes ! C'est la description que fait Meng Zhaoghuo, un paysan chinois, d’un extraterrestre qui aurait insisté pour avoir des rapports sexuels avec lui.
L'affaire remonte à 1994. le jeune chinois repère un soir un éclair métallique dans le ciel.
Craignant un accident d'hélicoptère, le paysan se précipite pour porter secours. La suite est plus confuse. Meng Zhaoghuo raconte avoir perdu connaissance et être revenu à lui, prostré et terrifié.
Ce serait en fait une alien coquine qui aurait rendu visite à son paysan. Avec à la clé une étreinte inoubliable à plus d'un titre: quarante minutes d'amour.
En lévitation, qui plus est. Et l'histoire ne s'arrête pas là. Meng Zhaoghuo assure que d'autres extra-terrestres lui ont rendu visite ensuite !
Les aliens ont fait une promesse à Meng Zhaoghuo que d'ici soixante ans naîtrait un extraterrestre qui aurait les gènes d'un paysan terrien et qu’il pourrait le ou la rencontrer.
Le récit, célèbre en Chine, a été authentifié, son auteur ayant passé avec succès le test du détecteur de mensonges. C'est en tout cas ce qu'affirme l'Association sino-internationale d'ufologie.
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