L’art vaginal !

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Une japonaise utilise son vagin comme modèle artistique !

Megumi Igarashi, une artiste japonaise de 44 ans fabrique des objets inspirés par la forme de son vagin : sculptures de plâtre, étuis de téléphones portables, peluches, etc autant d’objets créés en forme des parties génitales de Meguni
Elle a été reconnue coupable d'obscénité lors de son procès très médiatisé ce lundi au Japon par le tribunal du district de Tokyo lui a infligé une amende de 3.280 euros
Megumi avait déjà été arrêtée en juillet 2014 pour avoir essayé de lever des fonds en ligne pour financer la construction d'un kayak moulé sur la forme de son vagin. Elle avait même diffusé une image 3D codée afin que les utilisateurs puissent en faire des copies et construire leur propre kayak !
Elle s’était pourvue en appel et à la suite d’une de son arrestation grâce à une pétition signée par des milliers de personnes demandant sa libération.
Notons que le Japon reste un pays très paradoxal car s’il existe là-bas un marché florissant de la pornographie qui pèse des milliards d'euros, la représentation photographiée ou filmée d'organes sexuels est strictement interdite
Elle peint des toiles en pondant des œufs avec son vagin

Lors de la Foire d'art contemporaine à Cologne Milo Moiré, une artiste suisse de 31 ans, s’est installée sur deux échelles au-dessus d’une toile blanche et s’est mise à peindre.
Pour ce faire, elle est arrivée entièrement nue et a "pondu" des oeufs remplis de peinture en les ejectant par son vagin sur la toile.
PlopEgg #1 est le titre qu’elle a donné à sa curieuse performance
"Je crée et j'utilise la source originale de la féminité: mon vagin (…) J'ai utilisé l'oeuf comme le symbole de la naissance", confie la jeune artiste.
Elle envisage de vendre sa toile comme l’a fait jadis Piero Manzoni, qui avait placé ses excréments dans des boites de conserve : « 90 Merdes d'artiste » s’est vendue 30 000 euros pièce !
Le tricot vaginal !
Casey Jenkins, une féministe activiste australienne vient de se rendre célèbre grâce à ce qu’elle appelle son "art activiste": le tricot vaginal !Elle tricote pendant 28 jours, une écharpe à partir d’1 pelote de laine qu’elle a préalablement insérée dans son vagin, en prenant le soin de laisser dépasser un petit bout de fil. Elle continue de tricoter durant ses menstruations…pour obtenir une écharpe bicolore 100% naturelle !
Elle entend ainsi lutter contre la misogynie du gouvernement australien en expliquant que ce n'est pas parce qu'une femme a ses règles que tout doit être mis à l'arrêt.
C’est apparemment surtout une fétichiste de la laine qui décrit dans ses différentes interviews, le plaisir très excitant qu’elle ressent lorsqu’elle introduit sa pelote de laine dans le vagin…
Ariane LIMOZIN
Productrice
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