Les anecdotes sexuelles d’hier et d’aujourd’hui les plus insolites!
Le Fil d'Ariane du 13/01

Les anecdotes sexuelles d’hier et d’aujourd’hui les plus insolites
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Au fil des siècles, on retrouve un grand nombre d’anecdotes sexuelles absolument incroyables à travers le monde. En voici donc quelques-unes qui ne manqueront pas de vous faire sourire mais parfois même aussi frémir…
Aujourd’hui focus sur l’adultère... Si votre partenaire a découvert votre infidélité et qu’il ou elle vous a mis dehors en vous traiter de tous les noms d’oiseaux, estimez-vous heureux car il y a quelques temps l’adultère était sanctionné de manière bien plus humiliante et radicale !
*Dans la Grèce antique, pour punir l’amant d’une femme infidèle, on lui glissait publiquement un radis dans l’anus ou on l’épilait.
*Au XIVème siècle, dans le nord de la France et en Belgique, on plaçait les femmes infidèles dans un tonneau d’où ne pouvait dépasser que la tête et les mains de la coupable.
On laissait le fût durant 2 heures en plein centre de la place du marché pour que la foule puisse injurier ces femmes volages et leur lancer toutes sortes fruits et de légumes au visage.
*En 1530, François 1er tomba éperdument amoureux de Gabrielle Ferron. Poru se venger, Nicolas Ferron, le mari bafoué se rendit chez une prostituée atteinte de la syphilis afin d’être contaminé pour ensuite contaminer sa femme et le roi. Et en effet, 10 ans plus tard, Gabrielle mourut et 7 ans encore après, ce fut François 1er qui expira dans d’atroces souffrances.
*A la fin du Moyen Âge les hommes trompés lavaient leur déshonneur en coupant les testicules de l’amant de leur femme. C’est de là d’ailleurs d’où vient l’origine du terme « couillon ».
Pour ne plus faire de l’adultère un délit, certains ne manquent pas d’idées pour simplifier le problème :
Dans l’Antiquité, à Sparte, l’adultère était parfaitement légale car les femmes étaient communes c’est-à-dire qu’un homme pouvait emprunter la femme d’un autre dès qu’il en exprimait le désir sans qu’il n’ y ait de représailles.
A l’heure actuelle, dans certaines tribus assez féministes du Paraguay et du Venezuela, à savoir les Aches et les Baro, la notion de couple n’existe pas puisque les femmes peuvent avoir autant d’amants qu’elles le désirent. Et lorsqu’un enfant nait, il aura pour père l’ensemble des amants de sa mère qui se devront de le nourrir jusqu’à ce qu’il soit adulte.
Rappelez-vous qu’il y a peu de temps encore en France, la femme coupable du "crime" d'adultère était punie d'une peine d'emprisonnement de 3 mois à 2 ans, tandis que le mari infidèle n'encourait qu'une peine d'amende de 360 à 7.200 francs, et encore, uniquement s’il avait consommé son infidélité au domicile conjugal.
Avant la loi de 1975, l'adultère était une cause péremptoire de divorce entraînant automatiquement le divorce aux torts exclusifs du pécheur.
Demain: des histoires liées à nos particularités anatomiques et plus particulièrement nos particularités physiques intimes…