Sex toys

Comment choisir son premier sex toy ?
Brigitte Lahaie : Tout de suite on commence en ouvrant la boîte à questions. Sylvain Mimoun comment on choisit son premier sextoy ?
Sylvain Mimoun : Alors pour un premier sextoy il faut d’abord qu’il soit efficace sans chercher trop la technologie derrière. On a fait aujourd’hui des sextoys très sophistiqués.
B.L : Oui y en a énormément de différents.
S.M : Les sextoys comme les rabbits ou les trucs comme ça, les lapins avec les oreilles qui bougent ça devient trop compliqué. Ce qu’il faut à mon avis, le conseil que je donne à toutes celles qui me demandent en consultation, c’est de prendre le vibromasseur d’abord qu’il soit vibrant et qu’il puisse être mis à l’extérieur du vagin, ce n’est pas un godemichet ce n’est pas à mettre dans le vagin, c’est réellement à poser sur le clitoris. Et plutôt que de prendre des canards et tout ce qui a été fait dans des maisons de haute couture connues, c’est gadgétisant mais c’est pas ça qui donne le plus de plaisir. Ce qu’il faut c’est quelque chose de discret que la femme peut mettre sur le clitoris, ou que son ou sa partenaire peut mettre sur le clitoris et aboutir à ce qu’il y ait du plaisir par cette vibration-là.
B.L : Absolument, et je conseil surtout que si c’est un homme qui veut l’offrir pour la première fois à sa partenaire c’est surtout de ne pas prendre un sextoy qui soit trop réaliste, prenez plutôt quelque chose d’une couleur mauve ou rose, enfin bref qu’importe, et qui soit assez discret de manière à ce que ça n’est pas un côté agressif pour cette femme.
S.M : Voilà il ne faut pas que ça ait toutes les formes du sexe masculin avec tout ce que ça comporte et qui peut faire reculer des femmes.
B.L : Je suis assez favorable pour les vibromasseurs qui sont en forme de galet ou des choses comme ça qui sont assez jolies, esthétiques.
S.M : Et doux au toucher exactement.
De quelle manière peut-on intégrer les jouets intimes à la sexualité de couple ?
Brigitte Lahaie : On ouvre la boîte à questions, de quelle manière peut-on intégrer les jouets intimes à la sexualité de couple Sandie Pousseau ? De toute les manières.
Sandie Pousseau : Oui on en a déjà parlé un peu, c’est déjà la communication, s’assurer que les deux ont envie d’introduire des jouets dans la relation. Il faut que ce soit une relation qui soit déjà sympathique, plus c’est compliqué et plus vous amenez des choses dedans et plus ça va l’être encore. C’est quelque chose de ludique voilà, c’est rigolo, c’est léger, il faut s’en parler. Si vous vous connaissez bien et que vous pensez que ça peut gentiment surprendre l’autre, surprenez l’autre. Il n’y a pas vraiment de règles je crois que c’est une histoire encore d’alchimie du couple et de duo. B.L : Exactement et quant aux jouets qu’il faut choisir en premier c’est pareil, ça va dépendre de tellement d’éléments.
S.P : Simple, utilisation simple.
B.L : Et juste le faire avec un peu d’humour de manière à ce que ça puisse être bien pris si justement l’autre n’en veut pas. Bon bah voilà si ça t’ennuie tant pis.
S.P : Exactement.
B.L : C’est dommage mais tant pis ce n’est pas grave. Tout ça n’est vraiment pas grave.
S.P : Au contraire oui.
B.L : C’est justement du jeu.
Je n’ose pas me rendre en love shop, comment me procurer un sextoy ?
Brigitte Lahaie : Mais d’abord je vais ouvrir cette boîte à questions, Bruno Ponsenard je n’ose pas rentrer dans un love shop, comment me procurer un jouet intime ?
Bruno Ponsenard : Internet mon ami. Je pense que voilà maintenant il y a un moyen fabuleux c’est internet, vous pouvez commander des choses sur internet. C’est des paiements sécurisés et c’est surtout des colis qui sont banalisés. Donc quelqu’un qui n’ose ne pas rentrer c’est qu’il a peur de se faire surprendre, qu’on le voit, qu’on le juge donc c’est vrai qu’internet est un bon moyen après on peut envoyer un ami à sa place, on peut. Mais je pense qu’internet est aujourd’hui la solution la plus discrète.
B.L : La plus discrète en tout cas, alors l’avantage évidemment dans un loveshop c’est qu’éventuellement vous pouvez demander conseil à quelqu’un alors que part internet c'est un peu compliqué parce que il y a tellement de jouets mais bon si vous écoutez régulièrement cette émission tous les jours pratiquement on essaye d’expliquer et de vous dire ce qui est bien, ce qui n’est pas bien dans les jouets qu’on propose.
B.P : Et puis il y a des forums, voilà ça ce sont des choses qui sont proposées c’est bien.
B.L : Absolument.
Les boules de Geisha peuvent-elles rester coincées au fond du vagin ?
Brigitte Lahaie : Je vais vous poser une question dans la boite à question. Vous faites le malin mais là, il va falloir répondre à cette question : « Les boules de Geisha, est ce qu’elles peuvent rester coincer au fond du vagin ? ».
Alain Héril : A priori normalement si on les a bien mises elles ne restent pas coincées au fond du vagin parce que quand on introduit les boules de Geisha, il y a ce petit fil qui est là qui permet de pouvoir les ressortir facilement. Et de toute manière au fond du vagin on peut aller les chercher sans aucun problème puisqu’elle bute, au pire, sur le col de l’utérus donc il n’y a aucun soucis.
B.L : Je pense que ça fait partie aussi des fantasmes qu’il faut vraiment évacuer. Certaines femmes ont vraiment peur que leur vagin avale des choses. Autant au niveau de l’anus on fait très attention parce que le rectum peut en effet avaler et après on est obligé d’aller aux urgences retirer des tas de choses. Mais en revanche dans le vagin après il faut y aller avec ses doigts et ça c’est vrai qu’il y a des femmes qui n’osent pas, qui n’y arrivent pas mais, le vagin il est fermé par le col de l’utérus.
A.H : Oui tout à fait et puis je pense aussi que c’est important que les femmes apprennent - et normalement les boules de Geisha servent à ça - à contrôler les muscles internes de leur vagin le périnée enfin toute cette zone du corps pour pouvoir la rendre tonique et active. Et les boules de Geisha servent à ça.
B.L : Et quand on est bien entrainée on arrive avec un peu de technique à extraire sans ses doigts les boules de Geisha.
A.H : Tout à fait exactement on peut les expulser de façon naturelle.
B.L : Voilà mais ça demande un peu d’entrainement quand même.
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