Faites entrer l accusé - Page 2
Adélaïde avait 15 mois quand elle a été retrouvée morte noyée sur une plage de Berck en novembre 2013. La police s’est lancée dans une enquête « éclair » à l’issue de laquelle, Fabienne Kabou, mère de l’enfant, a été arrêtée. Mais pourquoi ? Psychose délirante ? Sorcellerie ? Pourquoi cette mère aimante et affectueuse aurait-elle tué un bébé qu’elle aimait ?
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Quand il est sorti de prison, après une série de braquages violents, dans le Sud de la France, Patrick Salameh a replongé, pour d’autres accusations cette fois-ci. En 2008, à Marseille, une étudiante et quatre prostituées sont tombées dans ses griffes. La justice n’a jamais retrouvé leurs corps mais a fini par remonter la piste de Salameh grâce à de mystérieux appels qu’il passait aux femmes depuis des cabines téléphoniques. L’homme s’est toujours défendu d’avoir tué. Habilement, il a tenu tête à la Crim’ et à trois juges. Il a aussi écrit des milliers de pages, et même un livre, pour sa défense ! Des policiers aux juges, en passant par les experts, tous ceux qui l’ont croisé dessinent encore le portrait d’un des plus dangereux prédateurs français.
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Quand il est sorti de prison, après une série de braquages violents, dans le Sud de la France, Patrick Salameh a replongé, pour d’autres accusations cette fois-ci. En 2008, à Marseille, une étudiante et quatre prostituées sont tombées dans ses griffes. La justice n’a jamais retrouvé leurs corps mais a fini par remonter la piste de Salameh grâce à de mystérieux appels qu’il passait aux femmes depuis des cabines téléphoniques. L’homme s’est toujours défendu d’avoir tué. Habilement, il a tenu tête à la Crim’ et à trois juges. Il a aussi écrit des milliers de pages, et même un livre, pour sa défense ! Des policiers aux juges, en passant par les experts, tous ceux qui l’ont croisé dessinent encore le portrait d’un des plus dangereux prédateurs français.
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Quand il est sorti de prison, après une série de braquages violents, dans le Sud de la France, Patrick Salameh a replongé, pour d’autres accusations cette fois-ci. En 2008, à Marseille, une étudiante et quatre prostituées sont tombées dans ses griffes. La justice n’a jamais retrouvé leurs corps mais a fini par remonter la piste de Salameh grâce à de mystérieux appels qu’il passait aux femmes depuis des cabines téléphoniques. L’homme s’est toujours défendu d’avoir tué. Habilement, il a tenu tête à la Crim’ et à trois juges. Il a aussi écrit des milliers de pages, et même un livre, pour sa défense ! Des policiers aux juges, en passant par les experts, tous ceux qui l’ont croisé dessinent encore le portrait d’un des plus dangereux prédateurs français.
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Quand il est sorti de prison, après une série de braquages violents, dans le Sud de la France, Patrick Salameh a replongé, pour d’autres accusations cette fois-ci. En 2008, à Marseille, une étudiante et quatre prostituées sont tombées dans ses griffes. La justice n’a jamais retrouvé leurs corps mais a fini par remonter la piste de Salameh grâce à de mystérieux appels qu’il passait aux femmes depuis des cabines téléphoniques. L’homme s’est toujours défendu d’avoir tué. Habilement, il a tenu tête à la Crim’ et à trois juges. Il a aussi écrit des milliers de pages, et même un livre, pour sa défense ! Des policiers aux juges, en passant par les experts, tous ceux qui l’ont croisé dessinent encore le portrait d’un des plus dangereux prédateurs français.
Sa taille, son mode opératoire, son ADN, son portrait-robot : les policiers et les gendarmes avaient de la matière pour appréhender ce violeur en série ! Et pourtant, l’homme les a tenus en échec de janvier 2008 à janvier 2010 ! Ses victimes ? Quinze femmes de tous âges, de toutes conditions, qu’il a « choisies » au hasard, au cours de ses déplacements entre la Meuse et la Moselle. C’est finalement sur un coup de chance, et grâce à la détermination d’une toute jeune magistrate, décidée à résoudre ce cold case, et qui a su entrainer les enquêteurs dans son combat, que la justice a fini par mettre la main sur l’un des plus grands prédateurs sexuels de France.
Sa taille, son mode opératoire, son ADN, son portrait-robot : les policiers et les gendarmes avaient de la matière pour appréhender ce violeur en série ! Et pourtant, l’homme les a tenus en échec de janvier 2008 à janvier 2010 ! Ses victimes ? Quinze femmes de tous âges, de toutes conditions, qu’il a « choisies » au hasard, au cours de ses déplacements entre la Meuse et la Moselle. C’est finalement sur un coup de chance, et grâce à la détermination d’une toute jeune magistrate, décidée à résoudre ce cold case, et qui a su entrainer les enquêteurs dans son combat, que la justice a fini par mettre la main sur l’un des plus grands prédateurs sexuels de France.
Sa taille, son mode opératoire, son ADN, son portrait-robot : les policiers et les gendarmes avaient de la matière pour appréhender ce violeur en série ! Et pourtant, l’homme les a tenus en échec de janvier 2008 à janvier 2010 ! Ses victimes ? Quinze femmes de tous âges, de toutes conditions, qu’il a « choisies » au hasard, au cours de ses déplacements entre la Meuse et la Moselle. C’est finalement sur un coup de chance, et grâce à la détermination d’une toute jeune magistrate, décidée à résoudre ce cold case, et qui a su entrainer les enquêteurs dans son combat, que la justice a fini par mettre la main sur l’un des plus grands prédateurs sexuels de France.
Sa taille, son mode opératoire, son ADN, son portrait-robot : les policiers et les gendarmes avaient de la matière pour appréhender ce violeur en série ! Et pourtant, l’homme les a tenus en échec de janvier 2008 à janvier 2010 ! Ses victimes ? Quinze femmes de tous âges, de toutes conditions, qu’il a « choisies » au hasard, au cours de ses déplacements entre la Meuse et la Moselle. C’est finalement sur un coup de chance, et grâce à la détermination d’une toute jeune magistrate, décidée à résoudre ce cold case, et qui a su entrainer les enquêteurs dans son combat, que la justice a fini par mettre la main sur l’un des plus grands prédateurs sexuels de France.
Quand Fabrice Motch a été arrêté, c’était un pompier modèle de réputation, le capitaine dont rêvent toutes les casernes. Pourtant, des années durant, il a profité de son autorité pour abuser sexuellement de jeunes pompiers et de ses beaux-fils. L’homme a également tué au motif de « sauver » sa femme d’un ex-mari violent. Des crimes que le capitaine aurait pu poursuivre et cacher encore longtemps, si une jeune recrue et la sœur de Motch ne l’avaient pas dénoncé.
Quand Fabrice Motch a été arrêté, c’était un pompier modèle de réputation, le capitaine dont rêvent toutes les casernes. Pourtant, des années durant, il a profité de son autorité pour abuser sexuellement de jeunes pompiers et de ses beaux-fils. L’homme a également tué au motif de « sauver » sa femme d’un ex-mari violent. Des crimes que le capitaine aurait pu poursuivre et cacher encore longtemps, si une jeune recrue et la sœur de Motch ne l’avaient pas dénoncé.
Quand Fabrice Motch a été arrêté, c’était un pompier modèle de réputation, le capitaine dont rêvent toutes les casernes. Pourtant, des années durant, il a profité de son autorité pour abuser sexuellement de jeunes pompiers et de ses beaux-fils. L’homme a également tué au motif de « sauver » sa femme d’un ex-mari violent. Des crimes que le capitaine aurait pu poursuivre et cacher encore longtemps, si une jeune recrue et la sœur de Motch ne l’avaient pas dénoncé.
Quand Fabrice Motch a été arrêté, c’était un pompier modèle de réputation, le capitaine dont rêvent toutes les casernes. Pourtant, des années durant, il a profité de son autorité pour abuser sexuellement de jeunes pompiers et de ses beaux-fils. L’homme a également tué au motif de « sauver » sa femme d’un ex-mari violent. Des crimes que le capitaine aurait pu poursuivre et cacher encore longtemps, si une jeune recrue et la sœur de Motch ne l’avaient pas dénoncé.
Entre 1995 et 1998, Tatiana Andujar, Moktaria Chaïb et Marie-Hélène Gonzalez, disparaissent dans le quartier de la gare à Perpignan. La traque a duré des années. Cette affaire est également celle de Jacques Rançon : qui, trahi par son ADN, a été condamné en 2018 à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de 22 ans, après avoir échappé à la Police judiciaire de Perpignan pendant 17 ans.
Entre 1995 et 1998, Tatiana Andujar, Moktaria Chaïb et Marie-Hélène Gonzalez, disparaissent dans le quartier de la gare à Perpignan. La traque a duré des années. Cette affaire est également celle de Jacques Rançon : qui, trahi par son ADN, a été condamné en 2018 à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de 22 ans, après avoir échappé à la Police judiciaire de Perpignan pendant 17 ans.
Entre 1995 et 1998, Tatiana Andujar, Moktaria Chaïb et Marie-Hélène Gonzalez, disparaissent dans le quartier de la gare à Perpignan. La traque a duré des années. Cette affaire est également celle de Jacques Rançon : qui, trahi par son ADN, a été condamné en 2018 à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de 22 ans, après avoir échappé à la Police judiciaire de Perpignan pendant 17 ans.
Entre 1995 et 1998, Tatiana Andujar, Moktaria Chaïb et Marie-Hélène Gonzalez, disparaissent dans le quartier de la gare à Perpignan. La traque a duré des années. Cette affaire est également celle de Jacques Rançon : qui, trahi par son ADN, a été condamné en 2018 à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de 22 ans, après avoir échappé à la Police judiciaire de Perpignan pendant 17 ans.
En 25 ans, Manuela Gonzalez Cano voit trois de ses compagnons décéder dans d’étranges circonstances. Immolé dans un placard en feu, asphyxié par les gaz d’échappement d’un garage, ou brûlé vif dans une voiture, ils ont tous connu une mort violente, avec en toile de fond, une prise de médicaments inhabituelle. De quoi attirer l’attention des forces de l’ordre, de la justice et de la presse qui vont la surnommer « la Veuve noire de l’Isère ».
En 25 ans, Manuela Gonzalez Cano voit trois de ses compagnons décéder dans d’étranges circonstances. Immolé dans un placard en feu, asphyxié par les gaz d’échappement d’un garage, ou brûlé vif dans une voiture, ils ont tous connu une mort violente, avec en toile de fond, une prise de médicaments inhabituelle. De quoi attirer l’attention des forces de l’ordre, de la justice et de la presse qui vont la surnommer « la Veuve noire de l’Isère ».
En 25 ans, Manuela Gonzalez Cano voit trois de ses compagnons décéder dans d’étranges circonstances. Immolé dans un placard en feu, asphyxié par les gaz d’échappement d’un garage, ou brûlé vif dans une voiture, ils ont tous connu une mort violente, avec en toile de fond, une prise de médicaments inhabituelle. De quoi attirer l’attention des forces de l’ordre, de la justice et de la presse qui vont la surnommer « la Veuve noire de l’Isère ».
En 25 ans, Manuela Gonzalez Cano voit trois de ses compagnons décéder dans d’étranges circonstances. Immolé dans un placard en feu, asphyxié par les gaz d’échappement d’un garage, ou brûlé vif dans une voiture, ils ont tous connu une mort violente, avec en toile de fond, une prise de médicaments inhabituelle. De quoi attirer l’attention des forces de l’ordre, de la justice et de la presse qui vont la surnommer « la Veuve noire de l’Isère ».
Un « vaudeville » meurtrier, sur fond de sexe et d’argent, dans la bourgeoisie de Chambéry. La victime s’appelait Lionel Véronèse. Amateur de fêtes et de jolies femmes, l’homme évoluait dans le milieu de la nuit, où il était videur. Mais un jour, il a disparu… Son tort ? Avoir eu une relation avec Nathalie Perrier, l’épouse d’un riche marchand de vins de la région.
Un « vaudeville » meurtrier, sur fond de sexe et d’argent, dans la bourgeoisie de Chambéry. La victime s’appelait Lionel Véronèse. Amateur de fêtes et de jolies femmes, l’homme évoluait dans le milieu de la nuit, où il était videur. Mais un jour, il a disparu… Son tort ? Avoir eu une relation avec Nathalie Perrier, l’épouse d’un riche marchand de vins de la région.
Un « vaudeville » meurtrier, sur fond de sexe et d’argent, dans la bourgeoisie de Chambéry. La victime s’appelait Lionel Véronèse. Amateur de fêtes et de jolies femmes, l’homme évoluait dans le milieu de la nuit, où il était videur. Mais un jour, il a disparu… Son tort ? Avoir eu une relation avec Nathalie Perrier, l’épouse d’un riche marchand de vins de la région.
Un « vaudeville » meurtrier, sur fond de sexe et d’argent, dans la bourgeoisie de Chambéry. La victime s’appelait Lionel Véronèse. Amateur de fêtes et de jolies femmes, l’homme évoluait dans le milieu de la nuit, où il était videur. Mais un jour, il a disparu… Son tort ? Avoir eu une relation avec Nathalie Perrier, l’épouse d’un riche marchand de vins de la région.
Toulouse, 12 mai 2016. Sophie Masala, 55 ans, se rend chez sa collègue, Maryline Planche, et lui fracasse le crâne. Elle découpe ensuite le corps en morceaux, qu’elle jette dans le Canal du Midi. Sauf la tête, qu’elle enterre dans un jardin public, proche de son propre appartement. Après le meurtre, Sophie Masala, continue de se rendre à son travail et fait croire que la victime est toujours vivante. Elle envoie des SMS à partir de son téléphone, qu’elle lui a dérobé. Jalousie, dépression : qu’est-ce qui a pu pousser cette mère de famille à commettre un meurtre sordide, de sang-froid ?
Toulouse, 12 mai 2016. Sophie Masala, 55 ans, se rend chez sa collègue, Maryline Planche, et lui fracasse le crâne. Elle découpe ensuite le corps en morceaux, qu’elle jette dans le Canal du Midi. Sauf la tête, qu’elle enterre dans un jardin public, proche de son propre appartement. Après le meurtre, Sophie Masala, continue de se rendre à son travail et fait croire que la victime est toujours vivante. Elle envoie des SMS à partir de son téléphone, qu’elle lui a dérobé. Jalousie, dépression : qu’est-ce qui a pu pousser cette mère de famille à commettre un meurtre sordide, de sang-froid ?
Toulouse, 12 mai 2016. Sophie Masala, 55 ans, se rend chez sa collègue, Maryline Planche, et lui fracasse le crâne. Elle découpe ensuite le corps en morceaux, qu’elle jette dans le Canal du Midi. Sauf la tête, qu’elle enterre dans un jardin public, proche de son propre appartement. Après le meurtre, Sophie Masala, continue de se rendre à son travail et fait croire que la victime est toujours vivante. Elle envoie des SMS à partir de son téléphone, qu’elle lui a dérobé. Jalousie, dépression : qu’est-ce qui a pu pousser cette mère de famille à commettre un meurtre sordide, de sang-froid ?
Toulouse, 12 mai 2016. Sophie Masala, 55 ans, se rend chez sa collègue, Maryline Planche, et lui fracasse le crâne. Elle découpe ensuite le corps en morceaux, qu’elle jette dans le Canal du Midi. Sauf la tête, qu’elle enterre dans un jardin public, proche de son propre appartement. Après le meurtre, Sophie Masala, continue de se rendre à son travail et fait croire que la victime est toujours vivante. Elle envoie des SMS à partir de son téléphone, qu’elle lui a dérobé. Jalousie, dépression : qu’est-ce qui a pu pousser cette mère de famille à commettre un meurtre sordide, de sang-froid ?
Christelle Blétry avait 20 ans lorsqu’elle a été tuée de 123 coups de couteau, en décembre 1996, à Blanzy, en Bourgogne. Un meurtre d’une violence hors norme dans l’histoire criminelle française. Après 17 ans d’un combat acharné, Marie-Rose, la mère de Christelle, a fini par faire appel à deux avocats spécialistes du cold case en France. L’aide d’un enquêteur chevronné et d’une nouvelle juge tenace, va permettre à l’affaire d’avancer.