Une évidence pour Daniel Robin, co-secrétaire général du Snes FSU : "Il s’agit de créer les conditions d’une meilleure aide à ces élèves, travailler de façon plus individuelle, donc il faut dégager du temps. Et les rémunérer mieux, c’est la reconnaissance de leurs efforts et des difficultés particulières qu’ils rencontrent dans l’exercice de leur métier."
A l’inverse, pour Véronique Marty, présidente de l'association de parents d'élèves la PEEP, cette approche ne constitue pas "une innovation" : "il n’y a pas d’innovation dans cette approche des ZEP. Ca fait 30 ans qu’on est sur les mêmes idées, en donnant des indemnités aux enseignants, et ça fait 30 ans qu’on dit que ça ne fonctionne pas."
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