C'est une mesure inédite et radicale. La justice a ordonné le prélèvement ADN de 527 personnes dans un lycée de La Rochelle pour confondre un violeur. Le viol remonte à septembre dernier. Il a été commis dans les toilettes de cet établissement privé (catholique). La victime, une élève de 16 ans, avait été surprise dans l'obscurité. Elle n'avait donc pas pu identifier son agresseur. Mais un ADN masculin avait pu être isolé sur ses vêtements.
La totalité des hommes présents dans l'établissement au moment des faits vont donc subir un prélèvement : 475 lycéens, 31 enseignants et 21 autres personnes (personnel technique ou extérieur au lycée).
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