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Le Danemark s'apprête à voter une loi pour interdire de brûler le Coran

Le Danemark s'apprête à voter une loi pour interdire de brûler le Coran

L’histoire dont on parle aujourd’hui commence de la même façon. Au Danemark et en Suède, au cours de l'été, à plusieurs reprises des corans ont été brûlés ou piétinés en public. Au Danemark une femme d’origine Iranienne a déchiré un Coran devant l’ambassade d’Iran pour protester contre la répression de la révolte des femmes dans son pays. En Suède, plusieurs fois cet été des rassemblements ont été organisés pour brûler devant les caméras un exemplaire du coran. La dernière fois, c'était dimanche dernier. Des manifestants musulmans sont venu protester, il y a eu des heurts avec la police et plusieurs arrestations.

Noizet : "On touche à l'urgence vitale, il y a une mise en danger de la santé des Français"

Noizet : "On touche à l'urgence vitale, il y a une mise en danger de la santé des Français"

Marc Noizet, président SAMU-Urgences de France, révèle dans "Apolline Matin, sur RMC et RMC Story, son rapport sur l'état des Urgences après l'été : "C'est accablant. On touche à l'urgence vitale, il y a une mise en danger de la santé des Français : "C'est du jamais-vu. Ce rapport est accablant car notre système s'effondre, on ne peut plus assurer que chaque patient soit pris en charge aux urgences à côté de chez lui, comme c'était prévu dans le schéma national (30 minutes de chez soi). Les mois prochains risquent d'être compliqués, particulièrement cet hiver."

Kessaci : "C'est notre dernier espoir pour pouvoir vivre autrement"

Kessaci : "C'est notre dernier espoir pour pouvoir vivre autrement"

Amine Kessaci, fondateur et président de l’association “Conscience", à Marseille, assigne l'Etat en justice. Il explique sa démarche dans "Apolline Matin" sur RMC et RMC Story : "On se bat depuis des années, mais on n'avait jamais rappelé la responsabilité de l'État devant la justice. On espère que l'État va agir autrement car on voit les résultats de la pol de répression. Deux ans après le Plan Marseille en Grand, le nombre de morts n'a pas diminué, bien au contraire, avec une des années les plus meurtrières de ces 15 dernières années."

Des étudiants sans affectation en septembre, il en existe 2 000

Des étudiants sans affectation en septembre, il en existe 2 000

Tout se passe sur Parcoursup, la plateforme devenue célèbre pour fédérer les mécontentements. Comme tous ses copains, Ana-Jude a établi une liste de vœux avant l’été. C’est une bonne élève mais les places sont chères. D’autant qu’elle habite la région parisienne et voudrait y rester. À l’Université Versailles-Saint-Quentin par exemple, il n’y a que 550 entrées pour 11 000 demandes ! La seule proposition d’affectation en parcours Santé qu’Ana-Jude a eu pour le moment c’est en Martinique ! Logistiquement et financièrement impossible pour elle et sa maman, qui l’élève solo avec sa grande sœur.

Les révélations de l'actrice Emmanuelle Béart sur l'inceste dont elle a été victime

Les révélations de l'actrice Emmanuelle Béart sur l'inceste dont elle a été victime

L’actrice Emmanuelle Béart a attendu d’avoir 60 ans pour parler de ce crime dont elle a été victime pendant quatre ans lorsqu’elle avait entre 10 et 14 ans. On comprend que son agresseur était proche du cercle familial, qu’il est peut-être encore vivant, en tout cas elle en parle au présent, mais elle ne le nomme pas. A qui cela servirait-il?, se demande-t-elle. Mardi, elle a tenu à préciser que cet homme, ce n'était pas son père, le chanteur Guy Béart. Son père qui, comme sa mère et ses amis d’école, n’ont rien vu, rien deviné à l’époque.

Les bons conseils pour la "Foire aux vins" qui débute dans les grandes surfaces

Les bons conseils pour la "Foire aux vins" qui débute dans les grandes surfaces

Si vous avez en tête que les foires aux vins c’est l’occasion de se payer des grands crus de Bordeaux a prix cassés, oubliez. Ca c’était vrai il y a 15 ans, quand les négociants liquidaient leurs stocks dans la grande distribution. C’est fini les prix ont trop monté. En revanche, les acheteurs des grandes surfaces sont devenus très pointus, et par gamme de prix réussissent à dénicher des pépites à des prix raisonnables dans tous les vignobles sachant que les viticulteurs c’est pas Nestlé ou Coca. Ils n’ont pas la capacité d’imposer la répercussion de la hausse de leurs coûts à Leclerc ou Intermarché.