RMC Conso

vidéos - Page 13

L'économie au cœur des débats: Antoine Armand plaide pour plus d'heures travaillées

L'économie au cœur des débats: Antoine Armand plaide pour plus d'heures travaillées

Le ministre de l’Économie, Antoine Armand, a déclaré dans Les Échos que l’objectif doit être d’accroître le nombre d’heures travaillées pour financer le modèle de protection sociale en France. Ce constat rejoint la position d’Emmanuel Macron, soulignant que la France, avec le système de protection sociale le plus coûteux au monde, doit augmenter sa productivité. Bien que les Français ne travaillent pas moins que leurs voisins sur une base hebdomadaire, ils cumulent moins d’heures annuellement, principalement en raison des 35 heures et d’un nombre élevé de jours de congés. En outre, le taux d’emploi est inférieur à la moyenne européenne, avec seulement 74 % des Français en âge de travailler ayant un emploi, contre 81 % en Allemagne et 83 % aux Pays-Bas. Toutefois, le projet de budget de Michel Barnier inclut des mesures défavorables aux petites entreprises, ce qui pourrait contrecarrer les efforts d’encouragement à l’emploi.

On n'arrête pas le progrès : Comment éclairer nos villes autrement ? - 25/10

On n'arrête pas le progrès : Comment éclairer nos villes autrement ? - 25/10

Anthony Morel vient à la table d'Estelle Midi pour nous faire découvrir les dernières innovations de la tech. Au menu aujourd'hui : Ce week-end, nous passons à l'heure d'hiver. Les jours vont commencer à raccourcir et les lampadaires vont s'allumer plus tôt. L'éclairage public représente 12% de la consommation d'électricité en France. Dans ce domaine, la technologie pourrait nous permettre de faire de grosses économies.

A vous de nous dire  : Électricité, une baisse limitée à 9% en 2025 - 11/10

A vous de nous dire : Électricité, une baisse limitée à 9% en 2025 - 11/10

C'est une petite ligne sur votre facture d'électricité, mais elle risque d'exploser. La taxe va très fortement augmenter. C'était dans l'annonce du budget présenté par Michel Barnier. Cela veut dire que si vous êtes au tarif réglementé comme 80% des Français, la baisse prévue en février sera moins importante que celle annoncée, soit 90% au lieu de 15%. Et si vous êtes à une offre de prix fixe, la facture va carrément augmenter de 14% en moyenne. - Tous les matins à 6h40, l'actualité vue du point de vue des auditeurs de RMC. Chaque jour, une question différente.Témoignages, réactions et débats : RMC est LA radio de l'interactivité.

Une bonne nouvelle pour les salariés: la possibilité de payer ses courses avec les tickets restaurants devrait être prolongée

Une bonne nouvelle pour les salariés: la possibilité de payer ses courses avec les tickets restaurants devrait être prolongée

Une bonne nouvelle pour les salariés: la possibilité de payer ses courses avec les tickets restaurants devrait être prolongée. Depuis 2022, on peut acheter avec un titre-restaurant des produits qui ne sont pas directement consommables (pâtes, riz, etc.), à hauteur de 25 euros par jour. Cette dérogation, décidée pour soutenir le pouvoir d’achat quand l’inflation flambait et le télétravail se développait, devait s’interrompre au 31 décembre. Mais le gouvernement penche nettement pour son maintien, au minimum une année supplémentaire dans un contexte de pouvoir d’achat qui va rester tendu parce que oui l’inflation ralentit nettement (1,5 à 2% l’an), mais les hausses de salaires vont sérieusement ralentir aussi et ne seront pas plus élevées que l’inflation. Un titre restaurant, c’est un chèque quotidien de 25 euros financé à moitié par l’entreprise. 5 millions de Français salariés utilisent aujourd'hui des titres-restaurant (des cartes pour l’essentiel), pour un gain de pouvoir d’achat de 1800 euros par an, quasiment l’équivalent d’un treizième mois. Il faut savoir que avant 2022, les titulaires de titres restaurants allaient 5 fois plus au restaurant et dépensaient 20% de plus que les non-bénéficiaires. Donc c’était une contribution majeure pour les restaurateurs, en moyenne 15% de leur CA, 30 à 40% pour ceux situés dans des quartiers d'affaires. Or les deux tiers de cette manne aujourd’hui leur échappe puisque 36% des titulaires de titres restos les dépensent en priorité dans les supermarchés, 34% dans les restaurants et 24% dans les commerces alimentaires. C’est pour ça que le gouvernement envisagerait un titre à double plafond à terme : 25 euros pour les restos, et moins pour les supermarchés.