Chaque année le tabac tue 75 000 personne par an, c'est peu dire que recommander la nicotine contre une maladie pulmonaire est contre intuitif. Pourtant, les constatations dans les hôpitaux sont làs et les essais cliniques commencent cette semaine. Une hypothèse inattendue soutenue par d'éminents spécialistes, qui s'appuie sur les chiffres des hôpitaux psychiatriques et des prisons. Avec à la clef soit une nouvelle déception, soit le premier traitement contre le coronavirus.
Avec plus de 45 000 morts, les États-Unis sont de loin pays le plus touché par la pandémie de coronavirus. Pourtant, un peu partout dans le pays, on rouvre les plages, les restaurants, et manifeste fusil en bandoulière pour le déconfinement. "Il ne faut pas que le remède soit pire que le mal" voilà ce que répète Donald Trump, appelant même ses partisans à libérer les états confinés. Mais la crise fait remonter à la surface les inégalités, dans certains états comme la Louisiane, les afro-américains représentent 30% de la populaire et 70% des décès.
Ils sont une douzaine, une douzaine d'épidémiologistes français avec une mission : remonter le fil des contaminations jusqu'au fameux patient 0. Celui par qui le coronavirus est arrivé en France. Une enquête aux allures de polar, de Wuhan à la base militaire de Creil dans l'Oise. Retrouver un malade au milieu d'un océan de porteurs sains sans symptômes, mission impossible ?
Trois semaines qui changent tout. Pendant trois semaines au tout début de la crise du coronavirus, la Chine a fait taire ses lanceurs d'alertes. Entre le 30 décembre et la mi-janvier, Pékin a prétendu à l'OMS et à sa population que le virus ne semblait pas se transmettre d'humain à humain, en ayant la preuve du contraire. Entre cette découverte scientifique, et la décision du confinement, 5 millions de personnes ont quitté la ville de Wuhan. C'est dans ces trois semaines que s'est joué le scénario que nous vivons tous aujourd'hui, on vous explique
Une enquête pour déterminer l'origine des virus, c'est un peu comme une enquête policière. Petit à petit autour du coronavirus l'étau se resserre, et les suspects sont désormais bien identifiés : la chauve-souris, et le pangolin. Dans cet épisode, nous vous racontons le scénario privilégié par les chercheurs, de la chaine de contamination du COVID-19; d'une grotte d'Asie du Sud-Est, jusqu'à nos foyers. Un travail de recherche indispensable, pour éviter l'émergence de nouvelles pandémies.