En 25 ans, Manuela Gonzalez Cano voit trois de ses compagnons décéder dans d’étranges circonstances. Immolé dans un placard en feu, asphyxié par les gaz d’échappement d’un garage, ou brûlé vif dans une voiture, ils ont tous connu une mort violente, avec en toile de fond, une prise de médicaments inhabituelle. De quoi attirer l’attention des forces de l’ordre, de la justice et de la presse qui vont la surnommer « la Veuve noire de l’Isère ».
En 25 ans, Manuela Gonzalez Cano voit trois de ses compagnons décéder dans d’étranges circonstances. Immolé dans un placard en feu, asphyxié par les gaz d’échappement d’un garage, ou brûlé vif dans une voiture, ils ont tous connu une mort violente, avec en toile de fond, une prise de médicaments inhabituelle. De quoi attirer l’attention des forces de l’ordre, de la justice et de la presse qui vont la surnommer « la Veuve noire de l’Isère ».
En 25 ans, Manuela Gonzalez Cano voit trois de ses compagnons décéder dans d’étranges circonstances. Immolé dans un placard en feu, asphyxié par les gaz d’échappement d’un garage, ou brûlé vif dans une voiture, ils ont tous connu une mort violente, avec en toile de fond, une prise de médicaments inhabituelle. De quoi attirer l’attention des forces de l’ordre, de la justice et de la presse qui vont la surnommer « la Veuve noire de l’Isère ».
En 25 ans, Manuela Gonzalez Cano voit trois de ses compagnons décéder dans d’étranges circonstances. Immolé dans un placard en feu, asphyxié par les gaz d’échappement d’un garage, ou brûlé vif dans une voiture, ils ont tous connu une mort violente, avec en toile de fond, une prise de médicaments inhabituelle. De quoi attirer l’attention des forces de l’ordre, de la justice et de la presse qui vont la surnommer « la Veuve noire de l’Isère ».
Un « vaudeville » meurtrier, sur fond de sexe et d’argent, dans la bourgeoisie de Chambéry. La victime s’appelait Lionel Véronèse. Amateur de fêtes et de jolies femmes, l’homme évoluait dans le milieu de la nuit, où il était videur. Mais un jour, il a disparu… Son tort ? Avoir eu une relation avec Nathalie Perrier, l’épouse d’un riche marchand de vins de la région.
Un « vaudeville » meurtrier, sur fond de sexe et d’argent, dans la bourgeoisie de Chambéry. La victime s’appelait Lionel Véronèse. Amateur de fêtes et de jolies femmes, l’homme évoluait dans le milieu de la nuit, où il était videur. Mais un jour, il a disparu… Son tort ? Avoir eu une relation avec Nathalie Perrier, l’épouse d’un riche marchand de vins de la région.
Un « vaudeville » meurtrier, sur fond de sexe et d’argent, dans la bourgeoisie de Chambéry. La victime s’appelait Lionel Véronèse. Amateur de fêtes et de jolies femmes, l’homme évoluait dans le milieu de la nuit, où il était videur. Mais un jour, il a disparu… Son tort ? Avoir eu une relation avec Nathalie Perrier, l’épouse d’un riche marchand de vins de la région.
Un « vaudeville » meurtrier, sur fond de sexe et d’argent, dans la bourgeoisie de Chambéry. La victime s’appelait Lionel Véronèse. Amateur de fêtes et de jolies femmes, l’homme évoluait dans le milieu de la nuit, où il était videur. Mais un jour, il a disparu… Son tort ? Avoir eu une relation avec Nathalie Perrier, l’épouse d’un riche marchand de vins de la région.
Toulouse, 12 mai 2016. Sophie Masala, 55 ans, se rend chez sa collègue, Maryline Planche, et lui fracasse le crâne. Elle découpe ensuite le corps en morceaux, qu’elle jette dans le Canal du Midi. Sauf la tête, qu’elle enterre dans un jardin public, proche de son propre appartement. Après le meurtre, Sophie Masala, continue de se rendre à son travail et fait croire que la victime est toujours vivante. Elle envoie des SMS à partir de son téléphone, qu’elle lui a dérobé. Jalousie, dépression : qu’est-ce qui a pu pousser cette mère de famille à commettre un meurtre sordide, de sang-froid ?
Toulouse, 12 mai 2016. Sophie Masala, 55 ans, se rend chez sa collègue, Maryline Planche, et lui fracasse le crâne. Elle découpe ensuite le corps en morceaux, qu’elle jette dans le Canal du Midi. Sauf la tête, qu’elle enterre dans un jardin public, proche de son propre appartement. Après le meurtre, Sophie Masala, continue de se rendre à son travail et fait croire que la victime est toujours vivante. Elle envoie des SMS à partir de son téléphone, qu’elle lui a dérobé. Jalousie, dépression : qu’est-ce qui a pu pousser cette mère de famille à commettre un meurtre sordide, de sang-froid ?
Toulouse, 12 mai 2016. Sophie Masala, 55 ans, se rend chez sa collègue, Maryline Planche, et lui fracasse le crâne. Elle découpe ensuite le corps en morceaux, qu’elle jette dans le Canal du Midi. Sauf la tête, qu’elle enterre dans un jardin public, proche de son propre appartement. Après le meurtre, Sophie Masala, continue de se rendre à son travail et fait croire que la victime est toujours vivante. Elle envoie des SMS à partir de son téléphone, qu’elle lui a dérobé. Jalousie, dépression : qu’est-ce qui a pu pousser cette mère de famille à commettre un meurtre sordide, de sang-froid ?
Toulouse, 12 mai 2016. Sophie Masala, 55 ans, se rend chez sa collègue, Maryline Planche, et lui fracasse le crâne. Elle découpe ensuite le corps en morceaux, qu’elle jette dans le Canal du Midi. Sauf la tête, qu’elle enterre dans un jardin public, proche de son propre appartement. Après le meurtre, Sophie Masala, continue de se rendre à son travail et fait croire que la victime est toujours vivante. Elle envoie des SMS à partir de son téléphone, qu’elle lui a dérobé. Jalousie, dépression : qu’est-ce qui a pu pousser cette mère de famille à commettre un meurtre sordide, de sang-froid ?
Christelle Blétry avait 20 ans lorsqu’elle a été tuée de 123 coups de couteau, en décembre 1996, à Blanzy, en Bourgogne. Un meurtre d’une violence hors norme dans l’histoire criminelle française. Après 17 ans d’un combat acharné, Marie-Rose, la mère de Christelle, a fini par faire appel à deux avocats spécialistes du cold case en France. L’aide d’un enquêteur chevronné et d’une nouvelle juge tenace, va permettre à l’affaire d’avancer.
Christelle Blétry avait 20 ans lorsqu’elle a été tuée de 123 coups de couteau, en décembre 1996, à Blanzy, en Bourgogne. Un meurtre d’une violence hors norme dans l’histoire criminelle française. Après 17 ans d’un combat acharné, Marie-Rose, la mère de Christelle, a fini par faire appel à deux avocats spécialistes du cold case en France. L’aide d’un enquêteur chevronné et d’une nouvelle juge tenace, va permettre à l’affaire d’avancer.
Christelle Blétry avait 20 ans lorsqu’elle a été tuée de 123 coups de couteau, en décembre 1996, à Blanzy, en Bourgogne. Un meurtre d’une violence hors norme dans l’histoire criminelle française. Après 17 ans d’un combat acharné, Marie-Rose, la mère de Christelle, a fini par faire appel à deux avocats spécialistes du cold case en France. L’aide d’un enquêteur chevronné et d’une nouvelle juge tenace, va permettre à l’affaire d’avancer.
Christelle Blétry avait 20 ans lorsqu’elle a été tuée de 123 coups de couteau, en décembre 1996, à Blanzy, en Bourgogne. Un meurtre d’une violence hors norme dans l’histoire criminelle française. Après 17 ans d’un combat acharné, Marie-Rose, la mère de Christelle, a fini par faire appel à deux avocats spécialistes du cold case en France. L’aide d’un enquêteur chevronné et d’une nouvelle juge tenace, va permettre à l’affaire d’avancer.