Deux criminels récidivistes, anciens co-détenus de prison, sont responsables de l’assassinat de Philippe Vuillet, le 20 mars 2007, à Reguisheim, dans le Haut-Rhin. La victime de trente-trois ans devait passer un entretien dans la journée pour effectuer un stage dans une crèche. Sa compagne, inquiète de ne pas avoir de nouvelles, contacte la gendarmerie qui ne prend d’abord pas conscience de la gravité des faits, avant de mener une enquête qui sera longue et filandreuse. Au terme des investigations, on remontera jusqu’à deux anciens condamnés qui se connaissaient très bien. L’un d’eux, Franck Siegler, est en cavale après avoir obtenu une permission de sortie.. L’homme a besoin d’un véhicule et de papiers, afin d’assurer la réussite définitive de son entreprise. A cette fin, il contacte un ancien détenu qui partagea sa cellule avec lui, Robert Moris, et s’installe chez lui. Vuillet, qui a connu ce dernier dans le cadre des chantiers emploi en 2006, passera un jour pour prendre un café. A partir de là, tout s’enclenche : le contenu d’une conversation aurait fait basculer l’un des deux hommes dans une violence qui, in fine, provoquera la mise à mort du trentenaire dans une forêt. Mais le véritable mobile demeure incertain. Toujours est-il que la cour d’assises du Haut-Rhin condamnera Moris à trente ans de prison et Siegler à la perpétuité.
Deux criminels récidivistes, anciens co-détenus de prison, sont responsables de l’assassinat de Philippe Vuillet, le 20 mars 2007, à Reguisheim, dans le Haut-Rhin. La victime de trente-trois ans devait passer un entretien dans la journée pour effectuer un stage dans une crèche. Sa compagne, inquiète de ne pas avoir de nouvelles, contacte la gendarmerie qui ne prend d’abord pas conscience de la gravité des faits, avant de mener une enquête qui sera longue et filandreuse. Au terme des investigations, on remontera jusqu’à deux anciens condamnés qui se connaissaient très bien. L’un d’eux, Franck Siegler, est en cavale après avoir obtenu une permission de sortie.. L’homme a besoin d’un véhicule et de papiers, afin d’assurer la réussite définitive de son entreprise. A cette fin, il contacte un ancien détenu qui partagea sa cellule avec lui, Robert Moris, et s’installe chez lui. Vuillet, qui a connu ce dernier dans le cadre des chantiers emploi en 2006, passera un jour pour prendre un café. A partir de là, tout s’enclenche : le contenu d’une conversation aurait fait basculer l’un des deux hommes dans une violence qui, in fine, provoquera la mise à mort du trentenaire dans une forêt. Mais le véritable mobile demeure incertain. Toujours est-il que la cour d’assises du Haut-Rhin condamnera Moris à trente ans de prison et Siegler à la perpétuité.
Deux criminels récidivistes, anciens co-détenus de prison, sont responsables de l’assassinat de Philippe Vuillet, le 20 mars 2007, à Reguisheim, dans le Haut-Rhin. La victime de trente-trois ans devait passer un entretien dans la journée pour effectuer un stage dans une crèche. Sa compagne, inquiète de ne pas avoir de nouvelles, contacte la gendarmerie qui ne prend d’abord pas conscience de la gravité des faits, avant de mener une enquête qui sera longue et filandreuse. Au terme des investigations, on remontera jusqu’à deux anciens condamnés qui se connaissaient très bien. L’un d’eux, Franck Siegler, est en cavale après avoir obtenu une permission de sortie.. L’homme a besoin d’un véhicule et de papiers, afin d’assurer la réussite définitive de son entreprise. A cette fin, il contacte un ancien détenu qui partagea sa cellule avec lui, Robert Moris, et s’installe chez lui. Vuillet, qui a connu ce dernier dans le cadre des chantiers emploi en 2006, passera un jour pour prendre un café. A partir de là, tout s’enclenche : le contenu d’une conversation aurait fait basculer l’un des deux hommes dans une violence qui, in fine, provoquera la mise à mort du trentenaire dans une forêt. Mais le véritable mobile demeure incertain. Toujours est-il que la cour d’assises du Haut-Rhin condamnera Moris à trente ans de prison et Siegler à la perpétuité.
Au cours de sa vie, Jean-Baptiste Rambla a tué deux femmes, une en 2004, une autre en 2017. Deux meurtres à 13 ans d'intervalle, gratuits, sans explication, ni mobile financier ou sexuel. À chaque fois, les gens se souviendront de son nom, un nom célèbre qui lui colle à la peau. À l'âge de six ans, il tenait la main de sa grande sœur Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, quand celle-ci a été enlevée par un inconnu. Plus tard, la petite fille sera retrouvée assassinée. Le coupable est Christian Ranucci et sera condamné à la peine de mort et exécuté. L'affaire Ranucci, celle du pullover rouge comme elle a été surnommée, ne va dès lors jamais cesser de hanter l’enfance de Jean-Baptiste Rambla, mais aussi son adolescence et sa vie d'homme. Des avocats vont parler d'une malédiction, tandis que les psychiatres, les experts, les juges vont se pencher sur ce sombre passé. Ce traumatisme aurait-il participé à la construction d'un homme qui a tué deux fois sans raison ? Tuer pour se venger, mais se venger de qui et de quoi ?
Au cours de sa vie, Jean-Baptiste Rambla a tué deux femmes, une en 2004, une autre en 2017. Deux meurtres à 13 ans d'intervalle, gratuits, sans explication, ni mobile financier ou sexuel. À chaque fois, les gens se souviendront de son nom, un nom célèbre qui lui colle à la peau. À l'âge de six ans, il tenait la main de sa grande sœur Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, quand celle-ci a été enlevée par un inconnu. Plus tard, la petite fille sera retrouvée assassinée. Le coupable est Christian Ranucci et sera condamné à la peine de mort et exécuté. L'affaire Ranucci, celle du pullover rouge comme elle a été surnommée, ne va dès lors jamais cesser de hanter l’enfance de Jean-Baptiste Rambla, mais aussi son adolescence et sa vie d'homme. Des avocats vont parler d'une malédiction, tandis que les psychiatres, les experts, les juges vont se pencher sur ce sombre passé. Ce traumatisme aurait-il participé à la construction d'un homme qui a tué deux fois sans raison ? Tuer pour se venger, mais se venger de qui et de quoi ?
Au cours de sa vie, Jean-Baptiste Rambla a tué deux femmes, une en 2004, une autre en 2017. Deux meurtres à 13 ans d'intervalle, gratuits, sans explication, ni mobile financier ou sexuel. À chaque fois, les gens se souviendront de son nom, un nom célèbre qui lui colle à la peau. À l'âge de six ans, il tenait la main de sa grande sœur Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, quand celle-ci a été enlevée par un inconnu. Plus tard, la petite fille sera retrouvée assassinée. Le coupable est Christian Ranucci et sera condamné à la peine de mort et exécuté. L'affaire Ranucci, celle du pullover rouge comme elle a été surnommée, ne va dès lors jamais cesser de hanter l’enfance de Jean-Baptiste Rambla, mais aussi son adolescence et sa vie d'homme. Des avocats vont parler d'une malédiction, tandis que les psychiatres, les experts, les juges vont se pencher sur ce sombre passé. Ce traumatisme aurait-il participé à la construction d'un homme qui a tué deux fois sans raison ? Tuer pour se venger, mais se venger de qui et de quoi ?