Le 14 décembre 1998, une fillette de 12 ans a été violée en rentrant de l'école par un homme qui l'a entraînée dans le cimetière d'Artigues. Les enquêteurs retrouvent une trace d'ADN sur les vêtements de la petite, mais l'empreinte n'est pas répertoriée. L'enquête reste au point mort pendant deux mois. Jusqu'à ce que les gendarmes reçoivent un curieux appel. Au bout du fil, une voix d'homme lance : « Ça va recommencer à la fin du mois ! », avant de raccrocher. Un quart d'heure plus tard, l'inconnu rappelle : « Comment elle va, la petite d'Artigues ? ». D'une voix mielleuse, et terrifiante de cynisme, l'homme donne des détails que seul le violeur de la fillette peut connaître. Les appels proviennent de cabines téléphoniques. Il dit s'appeler « Laurent ». C'est le début d'un jeu de cache-cache entre les enquêteurs et ce violeur en série.
Le 14 décembre 1998, une fillette de 12 ans a été violée en rentrant de l'école par un homme qui l'a entraînée dans le cimetière d'Artigues. Les enquêteurs retrouvent une trace d'ADN sur les vêtements de la petite, mais l'empreinte n'est pas répertoriée. L'enquête reste au point mort pendant deux mois. Jusqu'à ce que les gendarmes reçoivent un curieux appel. Au bout du fil, une voix d'homme lance : « Ça va recommencer à la fin du mois ! », avant de raccrocher. Un quart d'heure plus tard, l'inconnu rappelle : « Comment elle va, la petite d'Artigues ? ». D'une voix mielleuse, et terrifiante de cynisme, l'homme donne des détails que seul le violeur de la fillette peut connaître. Les appels proviennent de cabines téléphoniques. Il dit s'appeler « Laurent ». C'est le début d'un jeu de cache-cache entre les enquêteurs et ce violeur en série.
Le 14 décembre 1998, une fillette de 12 ans a été violée en rentrant de l'école par un homme qui l'a entraînée dans le cimetière d'Artigues. Les enquêteurs retrouvent une trace d'ADN sur les vêtements de la petite, mais l'empreinte n'est pas répertoriée. L'enquête reste au point mort pendant deux mois. Jusqu'à ce que les gendarmes reçoivent un curieux appel. Au bout du fil, une voix d'homme lance : « Ça va recommencer à la fin du mois ! », avant de raccrocher. Un quart d'heure plus tard, l'inconnu rappelle : « Comment elle va, la petite d'Artigues ? ». D'une voix mielleuse, et terrifiante de cynisme, l'homme donne des détails que seul le violeur de la fillette peut connaître. Les appels proviennent de cabines téléphoniques. Il dit s'appeler « Laurent ». C'est le début d'un jeu de cache-cache entre les enquêteurs et ce violeur en série.
Le 23 juin 2014, Patrick Isoird, divorcé, père d'une adolescente, disparaît. Sa famille retrouve son scooter garé devant le cimetière marin de Sète. Dans celui-ci, on retrouve son téléphone portable et dans la liste de ses derniers appels, le contact d'Audrey Louvet, une ancienne connaissance qui avait repris contact avec lui. Son frère signale sa disparition au commissariat de Sète. Le corps est retrouvé le 17 juillet 2014 par les enquêteurs du SRPJ de Montpellier à la grotte du mont Saint-Clair. Patrick Isoird a été entravé et tué de deux coups de fusil. Le corps est partiellement calciné.
Le 23 juin 2014, Patrick Isoird, divorcé, père d'une adolescente, disparaît. Sa famille retrouve son scooter garé devant le cimetière marin de Sète. Dans celui-ci, on retrouve son téléphone portable et dans la liste de ses derniers appels, le contact d'Audrey Louvet, une ancienne connaissance qui avait repris contact avec lui. Son frère signale sa disparition au commissariat de Sète. Le corps est retrouvé le 17 juillet 2014 par les enquêteurs du SRPJ de Montpellier à la grotte du mont Saint-Clair. Patrick Isoird a été entravé et tué de deux coups de fusil. Le corps est partiellement calciné.
Le 23 juin 2014, Patrick Isoird, divorcé, père d'une adolescente, disparaît. Sa famille retrouve son scooter garé devant le cimetière marin de Sète. Dans celui-ci, on retrouve son téléphone portable et dans la liste de ses derniers appels, le contact d'Audrey Louvet, une ancienne connaissance qui avait repris contact avec lui. Son frère signale sa disparition au commissariat de Sète. Le corps est retrouvé le 17 juillet 2014 par les enquêteurs du SRPJ de Montpellier à la grotte du mont Saint-Clair. Patrick Isoird a été entravé et tué de deux coups de fusil. Le corps est partiellement calciné..