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"Il faut juste fixer des règles avec nos voisins européen" Olivier Truchot sur le libre-échange
Zohra Bitan est déçue de la décision du Conseil Constitutionnel qui a choisi de retoquer un tiers des articles de la loi immigration.
Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a estimé que la révolte des agriculteurs était un "coup de sang" "légitime". "En tant que Ministre de l'intérieur il doit montrer l'exemple et apaiser les tensions dès le départ, c'est fou d'entendre ça de sa part", s'insurge l'économiste Frédéric Farah.
C'est tous les jours Demanche Les députés s'augmentent de 300 euros !
Agriculteurs : la grande distribution dans le viseur. "Nous demandons aux pouvoirs publics de faire en sorte que tout ce qui se discute, soit sous le coup des réglementations françaises", appelle Dominique Chargé, président de la Coopération agricole. Il donnait son Parti Pris à 08 h 10 sur RMC et RMC Story.
La colère des agriculteurs prend de l'ampleur. Ils envisagent de bloquer des points stratégiques comme le marché de Rungis. Jean-Philippe Tanguy, député RN de la Somme, soutient les agriculteurs dans leur volonté de bloquer le marché de Rungis. "Nous sommes dans un désordre économique total"
Une immersion dans les coulisses de l'actualité, c'est tous les jours les Indiscrets RMC. Depuis le début du mouvement de colère des agriculteurs, tous les acteurs français de la chaîne alimentaire se sont exprimés, à l'exception de la grande distribution. Comment peut-on expliquer cette discrétion ?
La loi Immigration a été retoquée à hauteur d'un tiers des articles. Jean-Philippe Tanguy, député RN de la Somme, dénonce des "arguments fallacieux" de la part du Conseil constitutionnel.
Le RN avait voté en faveur d'une augmentation de 300 euros par mois pour les frais des députés. Pour Jean-Philippe Tanguy, député RN de la Somme, "c'est un raté".
"Je vais arriver avec 2 heures de retard". Les agriculteurs avaient prévenu, ils sont ce vendredi matin aux portes de Paris et les automobilistes en sont les premiers lésés. La N118, dans l'Essonne, où se trouve notre envoyée spéciale RMC, est partiellement bloquée
La présidente de l'Assemblée nationale dénonce l’hypocrisie des groupes parlementaires... Plusieurs ont en effet dénoncé l'augmentation de l’enveloppe de frais des députés de 300 euros, alors que ces mêmes groupes venaient de la voter.
Après l'incendie devant la préfecture de Bordeaux, ce vendredi, à 12 heures, c'est un autre symbole de l'État, une autre préfecture devant laquelle les agriculteurs vont manifester, celle de l'Hérault, à Montpellier, où notre envoyée spéciale RMC est sur place.
La loi Immigration a été retoquée en grande partie par le Conseil constitutionnel et principalement sur les articles que le parti LR avait rajoutés. EXCLU RMC - "C'est un hold-up démocratique", s'indigne Éric Ciotti, président des LR. Il dénonce également une "collusion entre Macron et Fabius"
Une réunion sous haute tension au ministère de l'Agriculture ce vendredi à 11 heures. Marc Fesneau, ministre de l'Agriculture, réunit, une nouvelle fois, les acteurs de l'alimentaire pour faire le point sur les négociations commerciales, qui doivent se terminer mercredi prochain. Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, sera aussi présent. C'est le troisième comité de suivi cette année, mais il revêt une importance particulière alors que le pays est parsemé d'agriculteurs qui luttent pour leurs revenus. La liste précise des participants n'a pas été communiquée par le ministère qui annonce seulement les "représentants de l’amont agricole, des industries alimentaires et de la grande distribution." Que faut-il attendre de cette réunion ?
Les jours se suivent et se ressemblent pour les automobilistes, obligés de prendre leur voiture, mais confrontés au casse-tête des blocages. Un peu de partout en France, des déviations, des ralentissements, des bouchons qui s'accumulent, parfois depuis plus d'une semaine comme sur l'A64, au sud de Toulouse. Si ces blocages sont soutenus par une large majorité des Français, la galère continue pour ces automobilistes rencontrés en Isère par RMC.
Demanche pirate le #FaceAFace avec comme invité Jean-Philippe Tanguy, député RN de la Somme.
Aujourd'hui, l'équipe de "RMC s'engage" rouvre le dossier Back Market... Depuis notre première enquête, révélée au début du mois, une trentaine d'auditeurs nous ont alerté.
Les voitures n’ont fait aucun progrès ces dernières années en termes d’émissions de CO2. Pourtant, les constructeurs ont toujours assuré que leurs voitures thermiques étaient de plus en plus propres. Pour tenir les objectifs européens de réduction des émissions de CO2, il n’y a pas d’autres issues que le développement de la voiture électrique. Emmanuel Lechypre vous explique tout à 07 h 20 sur RMC et RMC Story.
La colère des agriculteurs continue de prendre de l'ampleur. Gabriel Attal se rendra sur place en Haute-Garonne pour répondre aux revendications. Véronique Le Floc’h, présidente de la Coordination Rurale, envisage de bloquer Rungis. Elle n'exclut pas non plus de bloquer le Salon de l'Agriculture.
Comme tous les matins, votre rendez-vous « RMC Police-Justice ». Un jour, une histoire repérée par le service police-justice de RMC. Ce matin, nous vous parlons de l'échec d'une vaste opération anti-drogue à Rennes. C'est une taupe, au sein même de la police, qui pourrait être à l'origine d'une fuite d'informations.
Les agriculteurs mettent leurs menaces à exécution ce vendredi matin. Ils menaçaient depuis le début de la semaine de bloquer Paris, ça y est, les convois se sont élancés ce vendredi matin pour bloquer les grands axes autour de la capitale. La N118 dans l'Essonne est bloquée comme nous le rapporte notre envoyée spéciale RMC sur place.
La première chose qu'on fait au réveil, c'est de regarder son téléphone alors qu'on est encore sous la couette. Un geste qui est loin d'être anodin pour notre cerveau et notre santé mentale. - Tous les matins, l’œil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre à la machine à café.
Une loi immigration largement censurée : le Conseil constitutionnel a décidé jeudi de censurer, partiellement ou entièrement, 35 articles sur les 86 que comptait la loi votée dans la douleur il y a un mois. Le durcissement de l'accès aux prestations sociales pour les étrangers, les quotas migratoires annuels ou la "caution retour" pour les étudiants étrangers ont notamment été retoqué. La plupart des mesures censurées l'ont été sur la forme, pour une question de procédure : ces articles n'avaient pas de lien assez fort avec le sujet du texte initial. Il s'agit des mesures ajoutées par le parti LR lors des négociations juste avant le vote final. Emmanuel Macron a demandé jeudi au ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, de "tout mettre en œuvre" pour "appliquer dans les meilleurs délais" la loi immigration. Les réactions politiques ont été immédiates : le président du RN Jordan Bardella dénonce un "coup de force des juges", comme Éric Ciotti, le président des LR, qui appelle à une modification de la Constitution. Le texte doit être promulgué "dans les heures qui viennent" par le président de la République et le gouvernement veut agir vite.