RMC
Avec : Laurent Dandrieu, rédacteur en chef culture à Valeurs Actuelles. Et Anne-Sophie Simpere, militante associative. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Après le succès d’audience rencontré cette année, Rémy Barret repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée d'Alfred Aurenche et sa bande, Rémy Barret s’invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… Cette saison, une nouvelle chronique axée sur la vie conso & quotidienne, vient rythmer l’émission. Coté casting : Stéphane Pedrazzi, Jérôme Lavrilleux, Fred Hermel seront entourés de l’écologiste Mathilde Imer, la journaliste Rachel Binhas et Anne-Sophie Simpere, autrice et militante associative. En simultané sur RMC Story.
Insécurité, transports, pollution de la Seine : les JO peuvent-ils être un fiasco ?

Insécurité, transports, pollution de la Seine : les JO peuvent-ils être un fiasco ?

La question de la sécurité autour de la cérémonie des JO soulève de nombreuses questions depuis plusieurs semaines. Mais aujourd’hui, un autre problème est évoqué par Surfrider Foundation. L’ONG a effectué des tests pour évaluer la qualité des eaux de la Seine. Après des prélèvements sur une durée de 6 mois, l’organisation évoque un état alarmant et un «risque » potentiel pour la santé des athlètes. Pour Pierre Rondeau économiste du sport, "le problème, c'est que pour la cérémonie sur la Seine, il n'y a pas de plan B !"

Avec : Laurent Dandrieu, rédacteur en chef culture à Valeurs Actuelles. Et Anne-Sophie Simpere, militante associative. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Après le succès d’audience rencontré cette année, Rémy Barret repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée d'Alfred Aurenche et sa bande, Rémy Barret s’invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… Cette saison, une nouvelle chronique axée sur la vie conso & quotidienne, vient rythmer l’émission. Coté casting : Stéphane Pedrazzi, Jérôme Lavrilleux, Fred Hermel seront entourés de l’écologiste Mathilde Imer, la journaliste Rachel Binhas et Anne-Sophie Simpere, autrice et militante associative. En simultané sur RMC Story.
3 heures de débats où toutes les opinions sont les bienvenues. A la table des Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. Pour cette 20ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile, mêlent information et divertissement. Les Grandes gueules, le show de la liberté d'expression. Ce mardi 9 avril 2024, retrouvez Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Jean-Loup Bonnamy, prof de philosophie, pour des discussions enflammées !
Pour débuter l'émission de ce mardi 9 avril 2024, les GG : Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Jean-Loup Bonnamy, prof de philosophie, débattent du sujet du jour : la violence chez les jeunes et la fin de l'excuse de minorité.
La matinale 100% info et auditeurs. Tous les matins, Apolline de Malherbe décrypte l'actualité du jour dans la bonne humeur, avec un journal toutes les demies-heures, Charles Magnien, le relais des auditeurs, Emmanuel Lechypre pour l'économie, et Nicolas Poincaré pour ses explications quotidennes. L'humoriste Arnaud Demanche vient compléter la bande avec deux rendez-vous à 7h20 et 8h20.
La matinale 100% info et auditeurs. Au menu du 8h-9h : le journal de 8h, l'invité "parti pris", "C'est Tous les Jours Demanche", le rappel de l'actualité de 8h30 et le Face à Face d'Apolline de Malherbe.
La reconversion vers la médecine esthétique encadrée ?

La reconversion vers la médecine esthétique encadrée ?

Des médecins généralistes qui se reconvertissent en médecins esthétiques ? C'est en tout cas la reconversion qu'envisage Olivier Véran, l'ancien ministre de la Santé. Ce choix a suscité de vives critiques. D'après le Conseil de l'Ordre des médecins, 5 à 6 % des 111.000 médecins généralistes pratiquent, en partie, ou totalement, de la médecine esthétique, dans un contexte où 87 % du territoire français est un désert médical. Une proposition de loi du député LR, Yannick Neuder, veut réguler ces reconversions.

Rue Tivoli : un an après, où en est l'enquête ?

Rue Tivoli : un an après, où en est l'enquête ?

C’était il y pile un an : un immeuble s’effondrait à Marseille, au 17 rue Tivoli, suite à une explosion causant la mort de 8 personnes. Ce mardi matin, un rassemblement silencieux se tiendra sur les lieux du drame. 1 an après, une cinquantaine de foyers n’ont toujours pas réintégré leur logement, soit à cause d’un risque de péril encore en cours, soit en raison de batailles juridiques avec leurs assureurs. C’est pour cela qu’ils en appellent au gouvernement pour obtenir un accord-cadre auprès des assureurs qui leur permettrait d’être indemnisés plus tôt. Certains sont logés à l'hôtel au frais de la mairie ou des assurances. 200 familles avaient été délogées après le drame. Les sinistrés ont adressé au gouvernement un courrier le 27 mars, en particulier à Gabriel Attal et au ministre de l'Économie Bruno Le Maire, pour le moment, pas de réponses. À ce jour, "58 parties civiles sont constituées" et seules 20 d'entre elles ont été auditionnées par le magistrat instructeur. Les autres auditions reprendront à compter du début du mois de mai. Aujourd’hui, la rue est toujours coupée à la circulation, 14 immeubles restent interdits d’accès. L’enquête se poursuit et il va falloir encore attendre longtemps avant d’avoir des réponses.

Drame rue Tivoli : les sinistrés relogés n'ont pas oublié

Drame rue Tivoli : les sinistrés relogés n'ont pas oublié

C’était il y pile un an : un immeuble s’effondrait à Marseille, au 17 rue Tivoli, suite à une explosion causant la mort de 8 personnes. Ce mardi matin, un rassemblement silencieux se tiendra sur les lieux du drame. 1 an après, une cinquantaine de foyers n’ont toujours pas réintégré leur logement, soit à cause d’un risque de péril encore en cours, soit en raison de batailles juridiques avec leurs assureurs. C’est pour cela qu’ils en appellent au gouvernement pour obtenir un accord-cadre auprès des assureurs qui leur permettrait d’être indemnisés plus tôt. Certains sont logés à l'hôtel au frais de la mairie ou des assurances. 200 familles avaient été délogées après le drame. Les sinistrés ont adressé au gouvernement un courrier le 27 mars, en particulier à Gabriel Attal et au ministre de l'Économie Bruno Le Maire, pour le moment, pas de réponses. À ce jour, "58 parties civiles sont constituées" et seules 20 d'entre elles ont été auditionnées par le magistrat instructeur. Les autres auditions reprendront à compter du début du mois de mai. Parmi les personnes en attente d'être relogées, il y a Roland. Il habitait au 15 rue de Tivoli et a été évacué par les pompiers juste avant que son immeuble ne s'écroule. 1 an après, il loue un appartement toujours dans le même quartier et reste très marqué par cette nuit du 8 avril.

Tous les matins, 8 minutes d'information complilées par la rédaction de RMC et présentées par Quentin Vinet, pour attaquer la journée en étant parfaitement informé.
À Marseille, une nouvelle grève des éboueurs se profile

À Marseille, une nouvelle grève des éboueurs se profile

Nouvelle colère des éboueurs à Marseille ! La CGT a annoncé déposer un préavis de grève illimitée pour les éboueurs à partir de ce mardi. Les éboueurs demandent une nouvelle décote de leur temps de travail pour tenir compte de la pénibilité de leur métier. La collecte sera assurée jusqu'à vendredi, jour où le rassemblement devant le siège de la métropole à Marseille est prévu. Si rien n'est fait, la collecte des ordures sera affectée par la grève. La CGT dénonce par ailleurs les conditions de la réorganisation des tournées qui a débuté il y a un mois et qui touche désormais la moitié de la ville, avec moins de passages quotidiens, parfois 2 par semaine. La CGT avait annoncé qu'elle ferait planer cette menace d'arrêt du ramassage lors du passage de la flamme olympique si rien n'avançait. Pour Véronique Dolot, représentante CGT à la Métropole d'Aix-Marseille : "Il faut reconnaître la pénibilité du métier d'éboueur".

La matinale 100% info et auditeurs. Au menu du 7h-8h : le journal, RMC S'engage Avec Vous, le Témoin du Jour, les Indiscrets de la rédaction, Lechypre d'Affaire et Arnaud Demanche qui pirate le Face à Face, le Journal, L'Invité du jour, Le Bonus de Charles, et Expliquez nous de Nicolas Poincaré.
Emploi des seniors : syndicats et patronat en désaccord

Emploi des seniors : syndicats et patronat en désaccord

Les négociations vont reprendre ce mardi matin et vont durer jusqu'à ce mardi soir au moins. Syndicats et patronats se sont quitté sans accord ce lundi soir sur la question de l'emploi des seniors. Les syndicats ont fait des propositions. Ce mardi matin, c'est le patronat qui va leur répondre. Ces allers-retours sont partis pour durer toute la journée. Pour l'instant, pas d'accord en vue, les avis sur l'emploi des seniors sont très divergents. Les syndicats sont très motivés à l'idée d'un accord, même s'ils sont inquiets de nombreux reculs pour les salariés, car le gouvernement a promis de reprendre l'accord fidèlement dans un texte de loi si les organisations syndicales et patronales trouvaient un compromis. Le patronat avait soumis la semaine dernière aux organisations syndicales un projet d'accord qui sert de base aux négociations, mais le texte reste très éloigné des revendications syndicales. Ivan Ricordeau est secrétaire général adjoint à la CFDT. Il est déçu de ne pas voir le patronat faire de pas vers eux.

Baignade dans la Seine : "Les mesures qui s'appliquent en période de baignade, ne s'appliquent pas aujourd'hui", justifie Marc Guillaume, préfet de la région Île-de-France

Baignade dans la Seine : "Les mesures qui s'appliquent en période de baignade, ne s'appliquent pas aujourd'hui", justifie Marc Guillaume, préfet de la région Île-de-France

Selon des dernières analyses, l'eau de la Seine est dans un état "alarmant" et les conditions ne sont pas réunies pour s'y baigner. Ce qui n'étonne pas le préfet de la région qui explique que certaines mesures ne sont pas encore appliquées en cette période. C'est le cas "des unités de désinfection des deux usines de traitement en amont de la Seine" qui "ne sont pas en fonctionnement (...) pour éliminer les bactéries". Marc Guillaume rappelle également qu'il a beaucoup plu et que cela "contribue à la pollution" du fleuve.