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François Darcy, la balle dans le dos - Episode 1/3
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François Darcy, la balle dans le dos - Episode 1/3
23:18
François Darcy, 1m99, 150 kg, une véritable armoire à glace ! En 2012, cet homme a été accusé d’avoir monté un traquenard des plus machiavéliques, pour se débarrasser de son épouse. De nuit, en pleine forêt, au terme d’un week-end romantique dans la vallée de Chevreuse, l’homme se serait lui-même tiré une balle dans le dos, pour simuler une agression et expliquer la mort de sa femme, dans l’incendie de leur voiture. Les gendarmes pensaient avoir réuni toutes les preuves contre lui. Alors, la défense a tout fait pour venir au secours d’un homme que tout accusait…
Autres épisodes
Pascal Payet s’est évadé deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la légende, c’est qu’entre ces deux évasions, l’homme a pris le risque, alors qu’il était en cavale, d’aller rechercher ses complices. Retour également sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opération clandestine dans un hôpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, l’histoire de Pascal Payet est digne d’un scenario hollywoodien
Pascal Payet s’est évadé deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la légende, c’est qu’entre ces deux évasions, l’homme a pris le risque, alors qu’il était en cavale, d’aller rechercher ses complices. Retour également sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opération clandestine dans un hôpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, l’histoire de Pascal Payet est digne d’un scenario hollywoodien
Pascal Payet s’est évadé deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la légende, c’est qu’entre ces deux évasions, l’homme a pris le risque, alors qu’il était en cavale, d’aller rechercher ses complices. Retour également sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opération clandestine dans un hôpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, l’histoire de Pascal Payet est digne d’un scenario hollywoodien.
L’affaire Edith Scaravetti ou affaire Laurent Baca est une affaire criminelle française concernant le meurtre de Laurent Baca, compagnon d’Edith Scaravetti au moment des faits. Laurent Baca a été tué dans la nuit du 5 au 6 août 2014 d’une balle de 22 long rifle dans la tempe, puis coulé dans du béton. Edith Scaravetti a, pendant quatre mois, soutenu le fait qu’elle était sans nouvelles de son concubin parti livrer des stupéfiants en Espagne. Mais l’hypothèse de ce « go fast » a étonné la famille de Laurent Baca ainsi que des enquêteurs, d’autant plus qu’Edith Scaravetti a mis plusieurs jours à signaler sa disparition et cela sous l’insistance et les nombreux questionnements de la belle-famille. Edith Scaravetti a avoué la mort de son compagnon après quatre mois d’enquête, le 20 novembre 2014. Le 17 mai 2019, Edith Scaravetti est condamnée par la Cour d’assises d’appel du Tarn-et-Garonne, à Montauban à dix ans de prison en appel pour le meurtre de son conjoint. En première instance, la Cour d’assises de Haute-Garonne, à Toulouse, avait retenu l’homicide involontaire et prononcé trois ans d’emprisonnement à l’encontre de la femme.
L’affaire Edith Scaravetti ou affaire Laurent Baca est une affaire criminelle française concernant le meurtre de Laurent Baca, compagnon d’Edith Scaravetti au moment des faits. Laurent Baca a été tué dans la nuit du 5 au 6 août 2014 d’une balle de 22 long rifle dans la tempe, puis coulé dans du béton. Edith Scaravetti a, pendant quatre mois, soutenu le fait qu’elle était sans nouvelles de son concubin parti livrer des stupéfiants en Espagne. Mais l’hypothèse de ce « go fast » a étonné la famille de Laurent Baca ainsi que des enquêteurs, d’autant plus qu’Edith Scaravetti a mis plusieurs jours à signaler sa disparition et cela sous l’insistance et les nombreux questionnements de la belle-famille. Edith Scaravetti a avoué la mort de son compagnon après quatre mois d’enquête, le 20 novembre 2014. Le 17 mai 2019, Edith Scaravetti est condamnée par la Cour d’assises d’appel du Tarn-et-Garonne, à Montauban à dix ans de prison en appel pour le meurtre de son conjoint. En première instance, la Cour d’assises de Haute-Garonne, à Toulouse, avait retenu l’homicide involontaire et prononcé trois ans d’emprisonnement à l’encontre de la femme.
L’affaire Edith Scaravetti ou affaire Laurent Baca est une affaire criminelle française concernant le meurtre de Laurent Baca, compagnon d’Edith Scaravetti au moment des faits. Laurent Baca a été tué dans la nuit du 5 au 6 août 2014 d’une balle de 22 long rifle dans la tempe, puis coulé dans du béton. Edith Scaravetti a, pendant quatre mois, soutenu le fait qu’elle était sans nouvelles de son concubin parti livrer des stupéfiants en Espagne. Mais l’hypothèse de ce « go fast » a étonné la famille de Laurent Baca ainsi que des enquêteurs, d’autant plus qu’Edith Scaravetti a mis plusieurs jours à signaler sa disparition et cela sous l’insistance et les nombreux questionnements de la belle-famille. Edith Scaravetti a avoué la mort de son compagnon après quatre mois d’enquête, le 20 novembre 2014. Le 17 mai 2019, Edith Scaravetti est condamnée par la Cour d’assises d’appel du Tarn-et-Garonne, à Montauban à dix ans de prison en appel pour le meurtre de son conjoint. En première instance, la Cour d’assises de Haute-Garonne, à Toulouse, avait retenu l’homicide involontaire et prononcé trois ans d’emprisonnement à l’encontre de la femme.
Le 18 décembre 1986, au Creusot, Christelle Maillery, rentre des cours un peu plus tôt que prévu. Elle sera retrouvée dans la cave d’un HLM tout près de chez elle. Les policiers piétineront des années durant, jusqu’à ce que la mère rejoigne un groupe de parents, connus sous le nom « des disparues de L’A6 ». Ensemble, ils ont réussi à faire rouvrir le dossier et à la suite d’une nouvelle enquête, faire condamner le coupable.
Le 18 décembre 1986, au Creusot, Christelle Maillery, rentre des cours un peu plus tôt que prévu. Elle sera retrouvée dans la cave d’un HLM tout près de chez elle. Les policiers piétineront des années durant, jusqu’à ce que la mère rejoigne un groupe de parents, connus sous le nom « des disparues de L’A6 ». Ensemble, ils ont réussi à faire rouvrir le dossier et à la suite d’une nouvelle enquête, faire condamner le coupable.
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