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Le barbe bleue de l'Essonne - l'intégral

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Le barbe bleue de l'Essonne - l'intégral

1:15:48

Professeur dans le secondaire, Jamel Leulmi est aussi un homme musclé et séduisant qui multiplie les conquêtes féminines. Mais à l’écouter, c’est aussi une victime des femmes ! Jalouses, intéressées, hystériques… Des femmes avec qui, il n’a pas de chance. Son épouse, Kathlyn, est morte sous ses yeux dans un terrible accident de la route et, plus tard, sa petite amie Julie a failli mourir les vertèbres brisées lors d’un accident de la route. Le problème, c’est que chaque accident a fait de lui un homme riche. Il a reçu plusieurs millions d’euros grâce aux primes d’assurances décès que ses conquêtes souscrivaient, curieusement, à tour de bras ! Pour la justice le mobile de ces accidents étranges était tout trouvé. Mais comment prouver qu’elle avait peut-être affaire à un tueur en série ?

Autres épisodes

Pascal Payet s’est évadé deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la légende, c’est qu’entre ces deux évasions, l’homme a pris le risque, alors qu’il était en cavale, d’aller rechercher ses complices. Retour également sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opération clandestine dans un hôpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, l’histoire de Pascal Payet est digne d’un scenario hollywoodien
Pascal Payet s’est évadé deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la légende, c’est qu’entre ces deux évasions, l’homme a pris le risque, alors qu’il était en cavale, d’aller rechercher ses complices. Retour également sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opération clandestine dans un hôpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, l’histoire de Pascal Payet est digne d’un scenario hollywoodien
Pascal Payet s’est évadé deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la légende, c’est qu’entre ces deux évasions, l’homme a pris le risque, alors qu’il était en cavale, d’aller rechercher ses complices. Retour également sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opération clandestine dans un hôpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, l’histoire de Pascal Payet est digne d’un scenario hollywoodien.
L’affaire Edith Scaravetti ou affaire Laurent Baca est une affaire criminelle française concernant le meurtre de Laurent Baca, compagnon d’Edith Scaravetti au moment des faits. Laurent Baca a été tué dans la nuit du 5 au 6 août 2014 d’une balle de 22 long rifle dans la tempe, puis coulé dans du béton. Edith Scaravetti a, pendant quatre mois, soutenu le fait qu’elle était sans nouvelles de son concubin parti livrer des stupéfiants en Espagne. Mais l’hypothèse de ce « go fast » a étonné la famille de Laurent Baca ainsi que des enquêteurs, d’autant plus qu’Edith Scaravetti a mis plusieurs jours à signaler sa disparition et cela sous l’insistance et les nombreux questionnements de la belle-famille. Edith Scaravetti a avoué la mort de son compagnon après quatre mois d’enquête, le 20 novembre 2014. Le 17 mai 2019, Edith Scaravetti est condamnée par la Cour d’assises d’appel du Tarn-et-Garonne, à Montauban à dix ans de prison en appel pour le meurtre de son conjoint. En première instance, la Cour d’assises de Haute-Garonne, à Toulouse, avait retenu l’homicide involontaire et prononcé trois ans d’emprisonnement à l’encontre de la femme.
L’affaire Edith Scaravetti ou affaire Laurent Baca est une affaire criminelle française concernant le meurtre de Laurent Baca, compagnon d’Edith Scaravetti au moment des faits. Laurent Baca a été tué dans la nuit du 5 au 6 août 2014 d’une balle de 22 long rifle dans la tempe, puis coulé dans du béton. Edith Scaravetti a, pendant quatre mois, soutenu le fait qu’elle était sans nouvelles de son concubin parti livrer des stupéfiants en Espagne. Mais l’hypothèse de ce « go fast » a étonné la famille de Laurent Baca ainsi que des enquêteurs, d’autant plus qu’Edith Scaravetti a mis plusieurs jours à signaler sa disparition et cela sous l’insistance et les nombreux questionnements de la belle-famille. Edith Scaravetti a avoué la mort de son compagnon après quatre mois d’enquête, le 20 novembre 2014. Le 17 mai 2019, Edith Scaravetti est condamnée par la Cour d’assises d’appel du Tarn-et-Garonne, à Montauban à dix ans de prison en appel pour le meurtre de son conjoint. En première instance, la Cour d’assises de Haute-Garonne, à Toulouse, avait retenu l’homicide involontaire et prononcé trois ans d’emprisonnement à l’encontre de la femme.
L’affaire Edith Scaravetti ou affaire Laurent Baca est une affaire criminelle française concernant le meurtre de Laurent Baca, compagnon d’Edith Scaravetti au moment des faits. Laurent Baca a été tué dans la nuit du 5 au 6 août 2014 d’une balle de 22 long rifle dans la tempe, puis coulé dans du béton. Edith Scaravetti a, pendant quatre mois, soutenu le fait qu’elle était sans nouvelles de son concubin parti livrer des stupéfiants en Espagne. Mais l’hypothèse de ce « go fast » a étonné la famille de Laurent Baca ainsi que des enquêteurs, d’autant plus qu’Edith Scaravetti a mis plusieurs jours à signaler sa disparition et cela sous l’insistance et les nombreux questionnements de la belle-famille. Edith Scaravetti a avoué la mort de son compagnon après quatre mois d’enquête, le 20 novembre 2014. Le 17 mai 2019, Edith Scaravetti est condamnée par la Cour d’assises d’appel du Tarn-et-Garonne, à Montauban à dix ans de prison en appel pour le meurtre de son conjoint. En première instance, la Cour d’assises de Haute-Garonne, à Toulouse, avait retenu l’homicide involontaire et prononcé trois ans d’emprisonnement à l’encontre de la femme.
Le 18 décembre 1986, au Creusot, Christelle Maillery, rentre des cours un peu plus tôt que prévu. Elle sera retrouvée dans la cave d’un HLM tout près de chez elle. Les policiers piétineront des années durant, jusqu’à ce que la mère rejoigne un groupe de parents, connus sous le nom « des disparues de L’A6 ». Ensemble, ils ont réussi à faire rouvrir le dossier et à la suite d’une nouvelle enquête, faire condamner le coupable.
Le 18 décembre 1986, au Creusot, Christelle Maillery, rentre des cours un peu plus tôt que prévu. Elle sera retrouvée dans la cave d’un HLM tout près de chez elle. Les policiers piétineront des années durant, jusqu’à ce que la mère rejoigne un groupe de parents, connus sous le nom « des disparues de L’A6 ». Ensemble, ils ont réussi à faire rouvrir le dossier et à la suite d’une nouvelle enquête, faire condamner le coupable.
Le 18 décembre 1986, au Creusot, Christelle Maillery, rentre des cours un peu plus tôt que prévu. Elle sera retrouvée dans la cave d’un HLM tout près de chez elle. Les policiers piétineront des années durant, jusqu’à ce que la mère rejoigne un groupe de parents, connus sous le nom « des disparues de L’A6 ». Ensemble, ils ont réussi à faire rouvrir le dossier et à la suite d’une nouvelle enquête, faire condamner le coupable.
Le 18 décembre 1986, au Creusot, Christelle Maillery, rentre des cours un peu plus tôt que prévu. Elle sera retrouvée dans la cave d’un HLM tout près de chez elle. Les policiers piétineront des années durant, jusqu’à ce que la mère rejoigne un groupe de parents, connus sous le nom « des disparues de L’A6 ». Ensemble, ils ont réussi à faire rouvrir le dossier et à la suite d’une nouvelle enquête, faire condamner le coupable.