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Mohamed Merah, la traque - Episode 3/3
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Mohamed Merah, la traque - Episode 3/3
26:12
C’est un document exceptionnel que « Faites entrer l’accusé » livre, avec cet opus, puisqu’il réunit tous les hommes qui ont, à la tête de la police judiciaire, du renseignement, de l’antiterrorisme ou de la magistrature, conduit la traque éclair qui a permis d’arrêter Mohamed Merah. En mars 2012, le terroriste a réveillé une peur que la France avait oubliée, depuis les derniers attentats du GIA, en 1995. Vêtu de noir, monté sur un scooter, il a tué 7 fois, à Toulouse et à Montauban. Trois militaires, trois enfants et un père de famille juifs ont succombé sous ses balles. Des crimes que Merah a filmés intégralement, pour mieux les revendiquer. Cet épisode retrace une traque de 10 jours, et 30 heures de siège, que les plus hautes instances de la police judicaire, du renseignement et de l’antiterrorisme ont accepté de raconter, heure par heure avec le récit de Amaury de Hauteclocque, chef du RAID entre 2007 et 2012. Mais aussi les témoignages de Me Samia Maktouf et de Me Béatrice Dubreuil, respectivement avocates des familles, de deux victimes militaires, Ibn-Ziaten et Chennouf. La parole sera donnée aux proches des victimes, avec Samuel et Myriam Sandler qui ont perdu leur fils Jonathan, assassiné avec ses deux jeunes enfants devant l’école juive Ozar Hatorah.
Autres épisodes
Pascal Payet s’est évadé deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la légende, c’est qu’entre ces deux évasions, l’homme a pris le risque, alors qu’il était en cavale, d’aller rechercher ses complices. Retour également sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opération clandestine dans un hôpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, l’histoire de Pascal Payet est digne d’un scenario hollywoodien
Pascal Payet s’est évadé deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la légende, c’est qu’entre ces deux évasions, l’homme a pris le risque, alors qu’il était en cavale, d’aller rechercher ses complices. Retour également sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opération clandestine dans un hôpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, l’histoire de Pascal Payet est digne d’un scenario hollywoodien
Pascal Payet s’est évadé deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la légende, c’est qu’entre ces deux évasions, l’homme a pris le risque, alors qu’il était en cavale, d’aller rechercher ses complices. Retour également sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opération clandestine dans un hôpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, l’histoire de Pascal Payet est digne d’un scenario hollywoodien.
L’affaire Edith Scaravetti ou affaire Laurent Baca est une affaire criminelle française concernant le meurtre de Laurent Baca, compagnon d’Edith Scaravetti au moment des faits. Laurent Baca a été tué dans la nuit du 5 au 6 août 2014 d’une balle de 22 long rifle dans la tempe, puis coulé dans du béton. Edith Scaravetti a, pendant quatre mois, soutenu le fait qu’elle était sans nouvelles de son concubin parti livrer des stupéfiants en Espagne. Mais l’hypothèse de ce « go fast » a étonné la famille de Laurent Baca ainsi que des enquêteurs, d’autant plus qu’Edith Scaravetti a mis plusieurs jours à signaler sa disparition et cela sous l’insistance et les nombreux questionnements de la belle-famille. Edith Scaravetti a avoué la mort de son compagnon après quatre mois d’enquête, le 20 novembre 2014. Le 17 mai 2019, Edith Scaravetti est condamnée par la Cour d’assises d’appel du Tarn-et-Garonne, à Montauban à dix ans de prison en appel pour le meurtre de son conjoint. En première instance, la Cour d’assises de Haute-Garonne, à Toulouse, avait retenu l’homicide involontaire et prononcé trois ans d’emprisonnement à l’encontre de la femme.
L’affaire Edith Scaravetti ou affaire Laurent Baca est une affaire criminelle française concernant le meurtre de Laurent Baca, compagnon d’Edith Scaravetti au moment des faits. Laurent Baca a été tué dans la nuit du 5 au 6 août 2014 d’une balle de 22 long rifle dans la tempe, puis coulé dans du béton. Edith Scaravetti a, pendant quatre mois, soutenu le fait qu’elle était sans nouvelles de son concubin parti livrer des stupéfiants en Espagne. Mais l’hypothèse de ce « go fast » a étonné la famille de Laurent Baca ainsi que des enquêteurs, d’autant plus qu’Edith Scaravetti a mis plusieurs jours à signaler sa disparition et cela sous l’insistance et les nombreux questionnements de la belle-famille. Edith Scaravetti a avoué la mort de son compagnon après quatre mois d’enquête, le 20 novembre 2014. Le 17 mai 2019, Edith Scaravetti est condamnée par la Cour d’assises d’appel du Tarn-et-Garonne, à Montauban à dix ans de prison en appel pour le meurtre de son conjoint. En première instance, la Cour d’assises de Haute-Garonne, à Toulouse, avait retenu l’homicide involontaire et prononcé trois ans d’emprisonnement à l’encontre de la femme.
L’affaire Edith Scaravetti ou affaire Laurent Baca est une affaire criminelle française concernant le meurtre de Laurent Baca, compagnon d’Edith Scaravetti au moment des faits. Laurent Baca a été tué dans la nuit du 5 au 6 août 2014 d’une balle de 22 long rifle dans la tempe, puis coulé dans du béton. Edith Scaravetti a, pendant quatre mois, soutenu le fait qu’elle était sans nouvelles de son concubin parti livrer des stupéfiants en Espagne. Mais l’hypothèse de ce « go fast » a étonné la famille de Laurent Baca ainsi que des enquêteurs, d’autant plus qu’Edith Scaravetti a mis plusieurs jours à signaler sa disparition et cela sous l’insistance et les nombreux questionnements de la belle-famille. Edith Scaravetti a avoué la mort de son compagnon après quatre mois d’enquête, le 20 novembre 2014. Le 17 mai 2019, Edith Scaravetti est condamnée par la Cour d’assises d’appel du Tarn-et-Garonne, à Montauban à dix ans de prison en appel pour le meurtre de son conjoint. En première instance, la Cour d’assises de Haute-Garonne, à Toulouse, avait retenu l’homicide involontaire et prononcé trois ans d’emprisonnement à l’encontre de la femme.
Le 18 décembre 1986, au Creusot, Christelle Maillery, rentre des cours un peu plus tôt que prévu. Elle sera retrouvée dans la cave d’un HLM tout près de chez elle. Les policiers piétineront des années durant, jusqu’à ce que la mère rejoigne un groupe de parents, connus sous le nom « des disparues de L’A6 ». Ensemble, ils ont réussi à faire rouvrir le dossier et à la suite d’une nouvelle enquête, faire condamner le coupable.
Le 18 décembre 1986, au Creusot, Christelle Maillery, rentre des cours un peu plus tôt que prévu. Elle sera retrouvée dans la cave d’un HLM tout près de chez elle. Les policiers piétineront des années durant, jusqu’à ce que la mère rejoigne un groupe de parents, connus sous le nom « des disparues de L’A6 ». Ensemble, ils ont réussi à faire rouvrir le dossier et à la suite d’une nouvelle enquête, faire condamner le coupable.
Le 18 décembre 1986, au Creusot, Christelle Maillery, rentre des cours un peu plus tôt que prévu. Elle sera retrouvée dans la cave d’un HLM tout près de chez elle. Les policiers piétineront des années durant, jusqu’à ce que la mère rejoigne un groupe de parents, connus sous le nom « des disparues de L’A6 ». Ensemble, ils ont réussi à faire rouvrir le dossier et à la suite d’une nouvelle enquête, faire condamner le coupable.
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