
Embargo à Téhéran par les Etats-Unis: "Ce n'est pas un bon signe pour l'économie iranienne"
La constructeur automobile français a en effet annoncé ce lundi qu'il préparait son retrait d'Iran, et acceptait donc se plier aux injonctions américaines. Si ce retrait se confirme, il constitue pour PSA un revers majeur. Le groupe y a vendu l'an dernier 446 000 véhicules. L'Iran est d'ailleurs le premier marché étranger de PSA devant la Chine, le Royaume-Uni ou encore l'Italie. Thierry Coville est chercheur à l'Iris, spécialiste de l'Iran. Cette annonce est une très mauvaise nouvelle pour l'Iran.
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