
Le « trop de sécurité » peut-il gâcher la fête ?
La toute première épreuve des JO s’est soldée par un 2-1 pour les Espagnols qui empochent les trois premiers points de la compétition. Le barrage policier était pourtant total avec une vérification des tickets (mais sans les scanner, ce qui a permis à plusieurs personnes avec le même billet de passer) et une fouille des sacs. Un contrôle drastique qui prend du temps : à 15min du début du match, de nombreuses personnes étaient encore en train de chercher à comprendre pourquoi elles étaient coincées si loin du stade. Un homme, son fils tenu par la main, s’énerve du manque d’information : « Ils sont 150 personnes à diriger les gens dans la station de métro mais il n’y a personne ici ! » On finit par tomber sur un volontaire, bien seul et perdu face aux nombreuses questions : « On m’a juste donné un plan du stade avec les différentes portes et j’ai eu pour seule consigne de diriger les gens vers le stade », explique-t-il.
"Une fête c'est un esprit de liberté, un esprit de fluidité et la on le retrouve pas. J'espère que cela va s'améliorer." Joëlle Dago-Serry
"Une fête c'est un esprit de liberté, un esprit de fluidité et la on le retrouve pas. J'espère que cela va s'améliorer." Joëlle Dago-Serry
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