
Affaire Jubillar: pourquoi l'ouverture du procès pourrait être retardée
Alors que le procès de Cédric Jubillar doit s’ouvrir le 22 septembre, sa dernière compagne affirme dans Le Parisien qu’il lui aurait avoué à plusieurs reprises le meurtre de Delphine, au téléphone et lors de parloirs, allant jusqu’à mimer la manière dont il l’aurait étouffée, la faisant suffoquer. Elle affirme même qu’il l’aurait menacée: "J’ai déjà tué une fois, ne me trompe pas et tout se passera bien."
Mais ce témoignage, qui doit être pris avec prudence car ce n’est pas la première fois que des proches rapportent de tels propos, pourrait avoir un impact sur le calendrier du procès. La procédure n’étant plus au stade de l’enquête, les gendarmes ne peuvent pas auditionner cette femme. Il faudrait que la présidente de la cour d’assises du Tarn demande un supplément d’information avant le procès, ce qui pourrait en repousser l’ouverture.
Mais ce témoignage, qui doit être pris avec prudence car ce n’est pas la première fois que des proches rapportent de tels propos, pourrait avoir un impact sur le calendrier du procès. La procédure n’étant plus au stade de l’enquête, les gendarmes ne peuvent pas auditionner cette femme. Il faudrait que la présidente de la cour d’assises du Tarn demande un supplément d’information avant le procès, ce qui pourrait en repousser l’ouverture.
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