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"Elle m'avait traitée de cagole": Sabrina Agresti-Roubache règle ses comptes avec une ex-ministre

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L'ancienne secrétaire d'Etat chargée de la Citoyenneté, Sabrina Agresti-Roubache, a fait ce mercredi sa première apparition dans "Les Grandes Gueules", sur RMC et RMC Story, en tant que chroniqueuse. Elle en a profité pour tacler nettement une ancienne camarade du gouvernement Attal.

Nouvelle vie pour Sabrina Agresti-Roubache. L'ancienne secrétaire d'Etat chargée de la Citoyenneté n'a pas été réélue députée, ni nommée dans le nouveau gouvernement, et retrouve ainsi sa liberté de parole. Nouvelle chroniqueuse des Grandes Gueules, elle a montré qu'elle n'avait toujours pas sa langue dans sa poche ce mercredi 2 octobre.

Originaire d'un quartier populaire de Marseille, elle explique qu'elle est en "instance de divorce" avec la ville qui l'a vue grandir, la trouvant scindée en deux entre "LFistes" et extrême droite. Vivant désormais à Paris, elle a même de la "colère" contre Marseille.

"Marseille bascule dans quelque chose que je ne reconnais pas", souffle l'ancienne ministre.
Les Grandes Gueules du 2 octobre : Sabrina Agresti Roubache, Bruno Poncet et Antoine Diers - 9h/10h
Les Grandes Gueules du 2 octobre : Sabrina Agresti Roubache, Bruno Poncet et Antoine Diers - 9h/10h
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"C'est moche"

Elle profite aussi de ce premier passage dans Les Grandes Gueules pour tacler immédiatement une ancienne camarade du gouvernement, Marie Lebec. Elle reproche notamment à l'ex-ministre des Relations avec le Parlement d'être allée à son ministère en métro pour faire bonne figure... avant de repartir en chauffeur.

Un déballage public qui trouve son origine dans une petite phrase que Sabrina Agresti-Roubache n'a visiblement pas digérée.

"Quand une fois, elle te traite de cagole... Et même pas en face. C'est moche. On peut tout me dire. Mais elle l'a fait lors d'un déjeuner avec la presse et tôt ou tard, on finit par le savoir", enrage-t-elle.

"J'ai beaucoup de défauts mais je ne parle jamais dans le dos des gens", conclut-elle, après avoir raconté aussi avoir envoyé un pack de bières "La Cagole" à un journaliste qui avait utilisé le même terme.

J.A.