
Royaume-Uni: "The Sun" publie le visage des émeutiers, "c'est interdit en France"
On pensait les mouvements identitaires, islamophobes et les violences des sympathisants d’extrême droites composées uniquement d’hommes à tendance misogyne. Le Royaume-Uni réalise depuis quelques jours que des femmes font aussi partie des émeutiers ou des activistes, parfois assidus. Parmi les 400 premières interpellations qui ont suivi le meutre des trois fillettes et les jours d'émeutes raciales, on trouve plusieurs femmes, arrêtées autant pour avoir été prises en flagrant délit de violence, en jetant par exemple des poubelles enflammées sur la police, que pour incitation à la haine sur les réseaux sociaux. Ce sont les vidéos publiées sur ces mêmes réseaux qui ont montré la présence de plus en plus nombreuse de femmes parmi les manifestants anti-migrants.
"Est-ce qu'on a le droit de détruire leur vie sociale à vie ? Je ne pense pas. Ils font une connerie, ils payent" estime Anne Testuz.
"Est-ce qu'on a le droit de détruire leur vie sociale à vie ? Je ne pense pas. Ils font une connerie, ils payent" estime Anne Testuz.
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