Revivez le direct de Bourdin & Co du 6 août

De 7h à 9h suivez en direct la matinale de Fabien Crombé sur RMC.fr - -
Invités, témoignages, débats... retrouvez ici tous les moments forts de Bourdin & Co ce mardi sur RMC :
Merci à tous d’avoir suivi le live de Bourdin & Co ce matin, n’hésitez pas à poursuivre les débats en réagissant ci-dessous ! Rendez-vous demain dès 7h !
8h40 - Marielle de Sarnez, députée européenne et chef de file du Modem pour les municipales à Paris est l'invitée d'Olivier Truchot sur RMC et BFMTV.
Il est 8h25, c'est l'heure du Parti Pris de Christophe Bordet qui s'attaque ce mardi matin à la décision du FMI de mettre un frein aux politiques d'austérité : Le FMI a raison mais...
Nicolas Mérille, conseiller national accessibilité à l
Pour lutter contre les problèmes de logement en France, l'ancien ministre du Logement, Benoist Apparu sur RMC et BFMTV lundi, a appelé à remettre en cause les normes qui fixent les conditions d'accessibilité aux logements pour les personnes handicapées. Les associations de handicapés s’indignent de cette déclaration. « Si vous voulez faire baisser les prix de production, il faut baisser un certain nombre de normes. La norme handicap doit coûter autour de 10 à 15% en coûts de construction supplémentaires », a dit Benoist Apparu lundi. Nicolas Mérille conteste ces chiffres.
8h17 - Nicolas Mérille : « Sur la problématique du logement, il faut penser à la liberté d'aller et venir. Sur l'accessibilité des bâtiments publics, il faut distinguer le neuf et l'existant. Sur le neuf, ça progresse. Sur le bâti existant, il faut qu’ils soient accessibles en 2015 et on en est loin ».
8h13 - Nicolas Mérille : « On est choqué. Normalement, il n'y a pas de surcoût vis à vis de ces normes handicapés. On ne peut pas mettre sur le ban de la société une partie de la population. Il ne faut pas faire des calculs à court terme. En 2030, 23% de la population aura plus de 65 ans donc il y a aura des problèmes de mobilité. Et les Français veulent rester chez eux. Si on met en place l'accessibilité dès maintenant on n’aura pas à le faire dans dix ans ».
8h10 - Nicolas Mérille : « Lorsqu'on prend en compte l'accessibilité dès le départ, il n'y a pas de surcoût. Il faut saluer les petits artisans qui sont de plus en plus impliqués ».
Emmanuel Lechypre, économiste
Le FMI conseille à la France de modérer sa politique d'austérité. L’institution l’a indiqué dans un rapport rendu public lundi. Le Fonds monétaire international estime que la France devrait ralentir son rythme de réduction du déficit public afin de soutenir la reprise économique.
7h48 - Emmanuel Lechypre : « Il y a un point sur lequel la mode a changé. Avant, on regardait le déficit total mais maintenant on regarde le déficit structurel. C'est un déficit dans lequel on ne tient pas compte des fluctuations de l'activité. Si à cause d'une croissance plus faible le déficit est plus élevé en 2014, le FMI ne s'inquiétera pas. Mais on ne voit pas aujourd'hui de vraies mesures visant à réduire la dépense publique en France. Ne va-t-il pas se manifester une certaine impatience de la part des marchés financiers ? ».
7h46 - Emmanuel Lechypre : « Le FMI dit "ne réduisez pas trop vite les déficits publics, ça risque de tuer la reprise". Mais dans le réglage économique, il faut réduire la dépense publique et arrêter d'augmenter les impôts. Si vous taxez trop une activité, ça ne pousse pas les gens à s'y engouffrer. Donc pas de recettes. On dépense 100 milliards d'euros de plus que nos voisins sans un meilleur service ».
7h44 - Emmanuel Lechypre : « Le changement de position se fait petit à petit. Le courant ultra-libéral des années 70-80 n'est plus à la mode. A la tête du FMI il y a une politique sociale libérale ».
7h43 - Emmanuel Lechypre : « Le FMI a su changer, c'est la fin du consensus de Washington. Et le FMI a appris de ses erreurs peut-être plus qu'en Europe. Il faut saluer la qualité du débat intellectuel au FMI et aux Etats-Unis ».
Jean-Marc Poujol, maire UMP de Perpignan et avocat
Lundi, le corps de Francisco Benitez a été retrouvé dans les sanitaires de la caserne où il travaillait. Il s'est pendu dans son uniforme, le visage dissimulé par un foulard noir. Il a laissé une lettre clamant son innocence dans l'affaire des 2 disparues de Perpignan. En effet, depuis le 14 juillet dernier, sa femme Marie-Josée, 53 ans, et sa fille Allison, 19 ans, sont introuvables. Cette dernière s'apprêtait à concourir pour le titre de Miss Roussillon. Francisco Benitez aurait signalé leur disparition aux policiers à deux reprises, les 22 et 25 juillet, dit une source proche de l'enquête. Il avait fallu que des proches d'Allison l'y poussent. Pour le frère de Benito, il ne fait aucun doute qu'il est innocent. Pourtant de lourds soupçons pèsent contre le militaire, dernier à avoir vu les deux femmes. Son portable et son ordinateur sont étudiés.
7h20 - Jean-Marc Poujol : « Le décès de Mr Benitez a-t-il été provoqué par le départ de sa femme et de sa file ou par autre chose ? C'est ce que devra montrer la justice ».
7h18- Jean-Marc Poujol : « Il y a deux procédures. Si ces deux femmes sont en vie, elles vont se mettre en contact avec la justice et la police ».
7h17 - Jean-Marc Poujol : « Quand j'ai appris son décès, ça a été la stupéfaction. La disparition des deux femmes suivie du suicide de Benito ne peut que me laisser interrogatif ».
7h16 - Jean-Marc Poujol : « Benito était tourné vers les autres, impliqué dans la vie sociale. Il était toujours en uniforme. Il était très tourné vers les autres, il s'occupait du Noël des enfants ou venait aux voeux aux anciens combattants » .
Bonjour à tous, il est 7h et nous suivons ensemble la matinale de Bourdin & Co présentée par Fabien Crombé jusqu'à 9h.