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Après les agriculteurs, les artisans ? Les acteurs du bâtiment ne comprennent pas pourquoi ils ne pourraient pas profiter d'un avantage négocié par les agriculteurs au cours de leurs blocages. Ces derniers ont réussi à annuler la hausse sur la taxe applicable au GNR, le gazole non routier. Utilisé dans les tracteurs agricoles certes, mais aussi dans les machines de chantier, et le gouvernement n'a pas prévu d'étendre aux professionnels du bâtiment et des travaux publics cette suspension. Bien qu'il envisage des compensations pour les TPE et PME du bâtiment. La Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du bâtiment (CAPEB) note déjà une quinzaine de départements dans lesquels les artisans du bâtiment ont rejoint les agriculteurs. La colère est donc en train de monter.
Jeudi, les syndicats majoritaires FNSEA et Jeunes agriculteurs ont appelé à suspendre les blocages en France, mais ont promis de rester vigilants sur l'application de nouvelles mesures annoncées peu auparavant par le Premier ministre Gabriel Attal. La FRSEA (Fédération Régionale des Syndicats d'Exploitants Agricoles) d'Île-de-France a reçu, quelques heures plus tard, un communiqué de Matignon qui apportait des précisions et un calendrier à propos de ces annonces. Le syndicat avait demandé au gouvernement de lui envoyer un tel document afin qu'ils lèvent leur barrage, sur l'A6 à hauteur de Chilly-Mazarin. Cette levée de camp doit se faire dans la matinée, dans une ambiance amère et nostalgique.
L’Etat a été condamné jeudi à verser plusieurs dizaines de millions d’euros à des sociétés de télépéage. Ce sont encore des conséquences de l’abandon de l’écotaxe en 2016…
Les jeunes générations ont-elles vraiment perdu le sens de la valeur travail ? Cette vision est-elle véritablement fondée ? Est-ce qu’il a quand même des différences avec les plus âgés ? Emmanuel Lechypre vous explique tout à 07 h 20 sur RMC et RMC Story.
Comme tous les matins, votre rendez-vous « RMC Police-Justice ». Un jour, une histoire repérée par le service police-justice de RMC. Ce matin, nous partons aux États-Unis où nous vous racontons comment une Américaine a tenté d’empoisonner son mari avec du muguet.
Parmi les victoires des agriculteurs, obtenus jeudi auprès d'Emmanuel Macron et Gabriel Attal, il y a la pause dans la réduction de l'usage des pesticides. Pour Marie Toussaint, députée européenne EELV, "c'est un cadeau empoisonné pour les agriculteurs".
L'Organisation Mondiale de la Santé alerte sur l'augmentation du nombre de cancers. D'ici 2050, le nombre de nouveaux cas détectés va augmenter de 77 %, par rapport à 2022, selon l'OMS, soit 35 millions de nouveaux cas. Un chiffre en très forte hausse avec des facteurs de risques multiples.
Gabriel Attal a fait de nouvelles annonces jeudi pour apaiser la colère des agriculteurs. Marc Fesneau, le ministre de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, a notamment annoncé que le "plan Ecophyto" serait mis en pause. Ce plan devait fixer des objectifs de baisse d'usage des pesticides et cristallisait la colère des producteurs de grandes cultures. Cette pause, c'est donc un pas vers les agriculteurs, mais un "recul majeur" selon des ONG environnementales qui sont très remontées.
Jeudi, le gouvernement a annoncé un troisième train de mesures pour les agriculteurs qui a conduit les 2 principaux syndicats, FNSEA et Jeunes Agriculteurs, à appeler à lever les blocages, mais en donnant rendez-vous au Salon de l'Agriculture, qui doit s'ouvrir à Paris dans 3 semaines. Ce sera la première échéance, l'occasion d'un premier bilan. "Ce doit être le marqueur fort", a averti Arnaud Gaillot, président des Jeunes Agriculteurs. D'ici là, le gouvernement a pris un certain nombre d'engagements et Emmanuel Macron maintient la pression.
Les agriculteurs plient bagage ce jeudi matin. 2 semaines de mobilisation et 3 paquets d'annonces gouvernementales plus tard, ils rentrent chez eux à l'appel de leurs principaux syndicats. Depuis jeudi après-midi, les barrages sont levés les uns après les autres, et cela va se poursuivre en grande en partie ce jeudi matin. Notre envoyée spéciale RMC se trouve sur l'autoroute A1 à hauteur de Chennevières-lès-Louvres, juste au-dessus de l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle, où les agriculteurs ont déjà nombreux à avoir levé le camp.
Aujourd'hui, l'équipe de "RMC s'engage" se penche à nouveau sur le dossier du regroupement familial en Essonne. INFO RMC : Il reste 1 000 familles en attente...
Charles Magnien nous révèle la liste des métiers dans lesquels l'infidélité est la plus répandue. Les commerciaux seraient en tête de liste. Lesquels figurent dans le top cinq et pour quelles raisons ? - Tous les matins, l’œil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre à la machine à café.
C'est une affaire qui a fait le tour du monde. Ne pas être assez "fun et pro" dans son entreprise n'est pas un motif de licenciement comme vient de le prouver une décision rendue lundi par la Cour d'appel de renvoi de Paris. Un salarié, viré de son cabinet de conseil parce qu'il n'était pas assez "fun", va toucher près de 500.000 € d'indemnités et être réintégré à la boîte. C'est la fin de 9 ans de procédure. La justice a finalement jugé que ce licenciement touchait à la liberté d'opinion et d'expression de ce salarié.
Chaussée déformée, feux de paille, dégradations...La facture de la colère des agriculteurs est salée. Stéphane Destruhaut, vice-président du département de Haute-Vienne en charge des mobilités, explique que le coût des dégâts pourrait aller "jusqu'à 1 million d'euros".
Gabriel Attal et plusieurs membres du gouvernement ont détaillé de nouvelles mesures en faveur des agriculteurs jeudi depuis Matignon. Parmi ses annonces, le Premier ministre s'est engagé à "promouvoir massivement l'étiquetage de l'origine des produits, notamment au niveau européen". Selon lui, c'est "un enjeu de transparence pour nos consommateurs et un enjeu de justice et de vérité pour nos agriculteurs". Le Premier ministre répond à une demande forte des agriculteurs, car depuis le début de leur mobilisation, ils ont multiplié les actions dans les supermarchés pour dénoncer l'étiquetage ambigu des produits de grande consommation : une "véritable andouille de Vire" dont le porc est issu de l'étranger ou encore de la "moutarde de Dijon" avec des graines de moutarde canadiennes. Bien souvent, le consommateur n'a aucun moyen de savoir d'où proviennent les ingrédients de ces produits transformés, car la législation est très souple. Gabriel Attal souhaite donc porter au niveau européen la généralisation de l’étiquetage des produits d’origine pour les produits agricoles et les ingrédients des produits alimentaires. Le Premier ministre veut renforcer l'étiquetage des denrées alimentaires, car aujourd'hui, il y a très peu de transparence.
Le ministre de la Défense américain, Lloyd Austin, 70 ans, a disparu pendant plusieurs jours. L’affaire a finalement provoqué un scandale…
Après les annonces de Gabriel Attal, les agriculteurs rentrent chez eux avec plus de 400 millions de mesures d'urgence et un calendrier des réformes pour les mois à venir. L'une d'elles fait particulièrement polémique : la mise en pause du plan de réduction des pesticides. - Tous les matins à 6h40, l'actualité vue du point de vue des auditeurs de RMC. Chaque jour, une question différente.Témoignages, réactions et débats : RMC est LA radio de l'interactivité.
Plusieurs agriculteurs ont tenté hier de s'infiltrer dans le marché international de Rungis et ont été interpellés. Serge Bosquet-Cassagne, président de la Chambre d'agriculture du Lot-et-Garonne, raconte sa nuit passée au commissariat de Créteil, pour RMC.
Les coulisses de l'actualité avec les Indiscrets RMC. Ce matin, RMC vous révèle que l’État va racheter des maisons dans des zones qui ont été inondées dans le Pas-de-Calais et que dans ces mêmes zones, on continue d’en construire. Des habitants s’y opposent.
Fabricants - Distributeurs : les négociations ont pris fin. "Les premières remontées, c'est que cela va se jouer entre - 1 et 0 %, donc une stabilité", pour Jean-Philippe André, président de l'Association Nationale des Industries Alimentaires (ANIA). Il donnait son Parti Pris à 08 h 10 sur RMC et RMC Story.
La mobilisation agricole a changé de braquet mercredi. Certains agriculteurs sont entrés sur le marché de Rungis, brièvement, le temps, quand même de faire quelques dégradations. 91 personnes ont été interpellées, alors qu'en ce jeudi, c'est vers Bruxelles que les yeux se tournent avec une grande mobilisation européenne, en marge d'un sommet européen. La Commission européenne a accepté mercredi les demandes de la France sur l'assouplissement des obligations de jachères et la limitation des importations agricoles d'Ukraine, pas de quoi faire lever le camp aux agriculteurs mobilisés sur les routes de France. Si une grande majorité de Français continue de soutenir les actions des agriculteurs, certaines entreprises laissent entendre le début d'un ras-le-bol.
Les professeurs sont en grève ce jeudi. Marion Maréchal, candidate “Reconquête !” aux élections européennes, soutient "l'idée d'une réforme de l'Éducation nationale". Elle demande un "retour aux fondamentaux" en primaire, passant par la suppression de l'art plastique ou des langues vivantes notamment.
"La baisse de la production française est indéniable", assure Marion Maréchal, candidate “Reconquête !” aux élections européennes. Elle demande à "engager un rapport de force" au niveau européen.
"On veut qu'Emmanuel Macron est un engagement ferme" sur l'agriculture, affirme Marion Maréchal, candidate “Reconquête !” aux élections européennes.
"Le gouvernement a noyé nos agriculteurs sous la concurrence déloyale", s'indigne Marion Maréchal, candidate “Reconquête !” aux élections européennes.
91 personnes ont été placées en garde à vue après l'intrusion au marché de Rungis. Marion Maréchal, candidate “Reconquête !” aux élections européennes, soutient "les démarches" des agriculteurs. Selon elle, "la mise en garde à vue est excessive".
La crise agricole va, en partie, se jouer à Bruxelles ce jeudi. Le mouvement de colère fait tache d'huile et les dirigeants européens sont au rendez-vous ce jeudi dans la capitale belge pour tenter de trouver des solutions. Notre envoyée spéciale RMC est en direct de Bruxelles où les agriculteurs font entendre leur colère.