"Gilets jaunes": les gardés à vue de la Salpétrière dénoncent "ultraviolence policière" et "pressions psychologiques"
Les 31 manifestants placés en garde à vue après le 1er mai sur un escalier menant à un service de réanimation de l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière ont assuré samedi qu'ils n'avaient fait que "fuir les ultra-violences policières".
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