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Barbara Butch répond aux "rageux": "Ce n'est pas de sa faute", pour Emmanuel de Villiers

Barbara Butch appelle à "ne pas normaliser la haine en ligne". Hier, la DJ française témoignait sur BFMTV, après l'ouverture mardi d'une enquête à la suite de sa plainte notamment pour cyberharcèlement aggravé et menaces de mort. Elle dit recevoir des torrents de haine depuis sa participation à un tableau de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris. Elle a performé lors du tableau intitulé "Festivité", commençant par l'image d'un groupe attablé, dont plusieurs drag Queens célèbres (Nicky Doll, Paloma et Piche reconnaissable à sa barbe blonde), que certains ont interprété comme une parodie moqueuse du dernier repas de Jésus avec ses apôtres, la Cène, telle que représentée par Léonard de Vinci. 
"Les attaques personnelles sont inadmissibles. Elle s'est juste mise au service d'une création artistique, ce n'est pas de sa faute", pour Emmanuel de Villiers. "C'est l'organisation qu'il faut mettre en cause et l'état qui a validé".