
La congrégation de Bétharram reconnaît sa responsabilité dans le scandale des violences sexuelles et physiques
La congrégation des pères de Bétharram a fait une déclaration marquante en reconnaissant sa responsabilité dans un scandale de violences physiques et sexuelles ayant touché un établissement catholique des Pyrénées-Atlantiques. Le prêtre Laurent Bacho a exprimé l'affliction de la congrégation face aux souffrances endurées par les enfants qui étaient venus dans cet établissement pour être protégés et éduqués. Ce mea culpa intervient alors qu’une vague de témoignages continue de se répandre à travers la France, mettant en lumière des abus similaires survenus dans de nombreux internats et écoles catholiques.
Ces révélations sont particulièrement liées à l’affaire Bétharram, qui a fait éclater au grand jour l'ampleur de ces violences. Depuis quelques semaines, des collectifs se sont formés pour permettre à d'anciens élèves de s’exprimer sur les abus subis. De plus en plus de victimes, telles que Gilles, ancien collégien dans un établissement basque dans les années 70, témoignent de violences physiques et d'agressions sexuelles. Leurs récits, loin de chercher une indemnisation, visent principalement la reconnaissance de ces souffrances par l'Église et l'État. Plusieurs plaintes devraient d'ailleurs être déposées dans les jours à venir. Le silence se brise ainsi progressivement, et avec lui, l'espoir de voir enfin ces institutions prendre la pleine mesure de leur responsabilité. Des dizaines de victimes, comme Joël, un ancien élève d’un collège catholique en Bretagne, attendent une reconnaissance officielle et une réparation pour les traumatismes qu'ils ont subis. Les collectifs, désormais organisés à l'échelle nationale, recueillent de plus en plus de témoignages, et l’affaire prend de l’ampleur, exposant la gravité et l'étendue des abus dans ces établissements.
Ces révélations sont particulièrement liées à l’affaire Bétharram, qui a fait éclater au grand jour l'ampleur de ces violences. Depuis quelques semaines, des collectifs se sont formés pour permettre à d'anciens élèves de s’exprimer sur les abus subis. De plus en plus de victimes, telles que Gilles, ancien collégien dans un établissement basque dans les années 70, témoignent de violences physiques et d'agressions sexuelles. Leurs récits, loin de chercher une indemnisation, visent principalement la reconnaissance de ces souffrances par l'Église et l'État. Plusieurs plaintes devraient d'ailleurs être déposées dans les jours à venir. Le silence se brise ainsi progressivement, et avec lui, l'espoir de voir enfin ces institutions prendre la pleine mesure de leur responsabilité. Des dizaines de victimes, comme Joël, un ancien élève d’un collège catholique en Bretagne, attendent une reconnaissance officielle et une réparation pour les traumatismes qu'ils ont subis. Les collectifs, désormais organisés à l'échelle nationale, recueillent de plus en plus de témoignages, et l’affaire prend de l’ampleur, exposant la gravité et l'étendue des abus dans ces établissements.
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