
Aubry et Hollande pour une mondialisation régulée
PARIS (Reuters) - Les deux finalistes de la compétition socialiste en vue de la présidentielle de 2012 se sont prononcés mercredi pour une régulation...
PARIS (Reuters) - Les deux finalistes de la compétition socialiste en vue de la présidentielle de 2012 se sont prononcés mercredi pour une régulation...
PARIS (Reuters) - Les deux candidats à l'investiture socialiste en vue de la présidentielle de 2012 ont proposé mercredi le placement sous contrôle...
«Gauche forte» d'un côté, «gauche solide» de l'autre: Martine Aubry et François Hollande se sont affrontés mercredi lors du débat télévisé décisif avant le second tour de la primaire socialiste pour 2012.
PARIS (Reuters) - François Hollande et Martine Aubry se sont tous les deux engagés mercredi à donner des responsabilités à Ségolène Royal si l'un ou...
par Yann Le Guernigou PARIS (Reuters) - A quelques heures du débat entre les deux finalistes de la primaire socialiste, l'UMP a accusé mercredi...
Ségolène Royal a appelé ce mercredi les électeurs à voter pour François Hollande au second tour de la primaire PS dimanche.
PARIS (Reuters) - François Hollande devance largement Martine Aubry dans les intentions de vote avant le second tour de la primaire pour...
par Elizabeth Pineau PARIS (Reuters) - Martine Aubry et François Hollande se retrouvent ce mercredi soir pour un dernier débat télévisé, à quatre...
PARIS (Reuters) - Le programme économique du socialiste Arnaud Montebourg, et notamment la mise sous tutelle des banques, est digne de la Révolution...
Invitée ce mercredi de Bourdin 2012 (RMC/BFMTV), la candidate à la primaire socialiste Martine Aubry affirme que son «seul adversaire est Nicolas Sarkozy» et qu'il sera son «adversaire en mai 2012».
Invitée ce mercredi de Bourdin 2012 sur RMC et BFMTV, la candidate à la primaire PS Martine Aubry indique ne pas avoir encore répondu à la lettre d'entre-deux tours d'Arnaud Montebourg. Mais souligne leurs points communs.
Nicolas Sarkozy a critiqué hier la primaire socialiste, en estimant que : « La Ve République ne peut être l'otage des partis politiques ». Mais le chef de l'Etat commet un contre-sens. Qui en dit long...
Nicolas Sarkozy était dans la Creuse hier. Les primaires, les candidats socialistes, Fillon : tout le monde en a pris pour son grade. Le président est entré en campagne.