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En pleine chasse aux économies, le gouvernement veut s'attaquer à l'aide à l'embauche pour les alternants en contrats pro. Cette aide de 6 000€ date de 2020, instaurée pendant le Covid pour les entreprises qui embauchent des alternants de moins de 30 ans. Le ministère du travail prépare un décret visant à la supprimer pour les contrats de professionnalisations à partir du 1er mai, dans 2 semaines. Elle ne sera plus versée que pour les contrats d'apprentissage (en formation initiale), qui représente la majorité des contrats d'alternance.
Alors que le gouvernement souhaite réduire les aides sur l'alternance pour faire des économies dans un contexte d'endettement, Jean-Eudes du Mesnil ne voit pas cette solution d'un très bon œil. Ce dernier assure que "(l')on sait l'utilité qu'à l'aide à la formation continue".
36,5 millions : 100.000 euros pas jour. Ce pourrait être le salaire de Carlos Tavares, directeur général du géant de l'automobile Stellantis. L’assemblée générale des actionnaires du groupe est convoquée aujourd'hui; notamment pour voter la rémunération du patron. Celle des actionnaires salariés a déjà eu lieu et l'a validée. En France, les salariés ont reçu une prime d’intéressement de 4 100 euros. En baisse par rapport à l'an dernier (4 300 euros), soulignent les syndicats.
D’après un sondage réalisé par OpinionWay, les Français pensent majoritairement que les impôts ont augmenté depuis 2017.
Une assemblée générale qui s’annonce houleuse cet après-midi, c’est celle du constructeur automobile Stellantis. En cause, le salaire de son patron qui fait polémique… Il toucherait environ 36 millions d’euros au titre de l’année 2023. Une grande partie est liée à la bonne santé économique de Stellantis. 3 cabinets de conseil recommandent aux actionnaires de voter contre ce salaire puisqu’il est beaucoup plus élevé que ce qui se fait dans le secteur automobile européen.
Demanche pirate le Face-à-Face avec comme invités Jean-Marie Vilain, maire de Viry-Châtillon et Béatrice Brugère, secrétaire générale d'Unité Magistrats FO
Ce fils de harkis a le droit comme tout descendants d'harkis à une indemnisation. Cette dernière a été votée par la France en 2022. Une indemnisation que Rachid attend toujours malgré plusieurs relances...
Après le cinéma, l’armée, maintenant l'hôpital…Les témoignages se multiplient dénonçant les agressions sexuelles et les remarques déplacées dans le milieu hospitalier, avec les hashtag #metoo hôpital, #metoo médecine. Un raz-de-marée qui survient après que l’infectiologue Karine Lacombe ait accusé le célèbre urgentiste Patrick Pelloux d’être un « prédateur » sexuel. Selon la Fédération des étudiants infirmiers, 1 élève sur 6 a été victime d'agression sexuelle.
Médecin psychiatre au CHUR de Nancy et vice-présidente de l'association "Donner des elles à la santé", Coraline Hingray n'est pas surprise par les nombreux témoignages de femmes victimes de violences sexistes ou sexuelles à l'hôpital. Cette dernière affirme que "ça fait 4 ans qu'on réalise des études qui mettent en avant des chiffres incroyables". Avant de rajouter : "8 femmes médecins sur 10 ont été victimes de violences sexistes ou sexuelles !"
RMC PJ: Une histoire sentimentale, puis amicale entre un fonctionnaire expérimenté de 45 ans et un jeune collègue, policier adjoint de 24 ans qui tourne au vinaigre. Le plus âgé des deux est accusé d’avoir suivi un peu partout son collègue, ce qu’il a contesté à l’audience, mais le tribunal de Saint-Malo a condamné l’officier de police judiciaire à 18 mois de prison avec sursis et à être radié de la fonction publique.
Vive la sieste au travail ! N'importe quel travailleur, que ce soit du matin ou aux horaires classiques, est un grand fervent partisan de la sieste au boulot. Selon un sondage américain mené auprès de 1 200 employés, un tiers d'entre eux avouent faire une sieste pendant leurs horaires de travail d'environ 15 minutes en moyenne pour ceux qui bossent en présentiel, mais cette durée peut monter jusqu'à une heure pour ceux qui télétravaillent. Ce sont surtout les hommes, et en particulier les jeunes, qui s'accordent le plus ce petit roupillon au milieu de la journée. - Tous les matins, l’œil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre à la machine à café.
Sécurité routière : Des accidents de plus en plus graves... des victimes de plus en plus jeunes. Pierre Lagache, Vice-président de la Ligue contre les violences routières, remarque une situation qui "touche à peu près tous les usagers de la route, mais une fois de plus ce sont les jeunes qui paient le plus lourd tribut avec 23 personnes tuées chez les 18-24 ans en plus", affirme-t-il sur RMC. L'assouplissement du permis de conduire est "une politique d'insécurité routière, c'est une très mauvaise mesure qui envoie un très mauvais signal", ajoute le vice-président.
Emmaüs se dit victime des prix bas des géants du commerce en ligne. L'association qui possède des boutiques voit ses ventes baisser drastiquement alors que celles de la fast fashion ne font qu'augmenter...
Pour ce chauffeur VTC, qui a connu le foyer et une famille d'accueil, les parents ne sont pas à pointer du doigt. Ce dernier juge que "les éducateurs de quartier, la police de proximité" doivent venir "parler aux jeunes" pour les remettre dans le droit chemin. Mohammed désigne aussi les réseaux sociaux comme une des causes à ses problèmes : "Les réseaux sociaux, ça tue tout..."
Les langues se délient à l'hôpital pour dénoncer le sexisme et les agressions sexuelles qui gangrènent aussi ce milieu. Une nouvelle vague #Metoo permise par la prise de parole de l’infectiologue Karine Lacombe qui a dénoncé, la semaine dernière, les comportements du célèbre urgentiste Patrick Pelloux.
Alors que la flamme olympique sera allumée à Olympie, en Grèce, ce matin à 11h, Emmanuel Macron met la pression sur certains clubs de foot afin de permettre aux joueurs de participer aux Jeux, notamment #Mbappe, qu'il espère disponible pour Paris 2024. "On a l'Euro c'est ça le problème, il faut que les clubs jouent le jeu", affirme-t-il.
Le ministère de la Justice va désormais durcir les sanctions contre les parents des mineurs délinquants, comme il l'a promis : jusqu'à trois ans de prison contre deux ans aujourd'hui, 45 000 euros d'amendes contre 30 000 aujourd'hui. Le gouvernement veut même aller plus loin, sanctionner l'absence des parents lors des séances judiciaires. Qu'en pensez-vous ? - Tous les matins à 6h40, l'actualité vue du point de vue des auditeurs de RMC. Chaque jour, une question différente.Témoignages, réactions et débats : RMC est LA radio de l'interactivité.
RMC vous le révélait hier soir, une enquête a été ouverte au pénal suite aux incidents survenus à Science Po Paris le 12 mars 2024. Il s'agit d'une enquête du Parquet de Paris pour "provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine, de leur appartenance ou non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion". Elle fait suite au signalement effectué par le gouvernement et la plainte déposée par l'Union des étudiants juifs de France, après une mobilisation pro palestinienne à Sciences Po Paris.
Agression de Samara à Montpellier, assassinat de Shemseddine à Viry-Chatillon, mort de Zakaria à Romans-sur-Isère...Les affaires impliquant des mineurs se multiplient. Depuis les émeutes urbaines de l'été dernier, le gouvernement planche sur un renforcement des sanctions contre les mineurs délinquants, et entend aussi mettre la pression sur les parents...Plus de 310 condamnations de parents ont été prononcées en un an, hausse de 40% depuis le premier trimestre 2023.
57% des Français pensent que les impôts ont augmenté depuis l'arrivée d'Emmanuel Macron à l'Élysée. Ce qui s'explique pour plusieurs raisons même si ce n'est pas vraiment le cas dans les faits...
La mortalité sur les routes a progressé de 31%, par rapport à mars 2023. Principales victimes, les jeunes de 18 à 24 ans, pour cause, 40 décès dans cette tranche d’âge en mars 2024, soit 23 de plus que l’an dernier. En mars, 254 personnes ont été tuées sur les routes de France métropolitaine. On dénombre 1.164 blessés graves, en hausse de 10% sur un an. Pour certaines associations, cette augmentation est liée à l'arrêt du retrait d'un point en cas d'excès de vitesse.
La mortalité routière est fortement repartie à la hausse le mois dernier en France. Un bond de 31% du nombre de personnes tués sur la route en mars, comparé à il y a un an. À l'époque, les chiffres étaient particulièrement bas reconnaît la sécurité routière. Les principales victimes sont les 18-24 ans. Comme ce week-end encore, dans le Tarn.