
Quel est le budget moyen des Français pour leur animal?
Selon l’étude menée par OpinionWay pour Bonial, à l’occasion des Journées Internationales du Chat (8 août) et du Chien (26 août), les Français consacrent, en moyenne, 107 € par mois.
Selon l’étude menée par OpinionWay pour Bonial, à l’occasion des Journées Internationales du Chat (8 août) et du Chien (26 août), les Français consacrent, en moyenne, 107 € par mois.
Créé en 2016 et généralisé en 2018, le chèque énergie pourrait disparaître. C’est l’une des aides ciblées par un rapport conjoint de l’Inspection générale des finances et celle de l’environnement. L’aide, distribuée à 5,5 millions de ménages modestes, est critiquée pour son manque de revalorisation depuis 2019, et son effet jugé contraire à la sobriété énergétique, car elle encouragerait une hausse de la consommation. Sur les 92 milliards d’euros d’aides publiques recensées, 37 milliards doivent être réexaminés, dont 20 en priorité. Le chèque énergie en fait partie. Son coût annuel s’élève à 795 millions d’euros, pour un montant moyen de 150 € par foyer. Son avenir pourrait être débattu dans le cadre du projet de loi de finances 2026, une perspective qui inquiète de nombreuses associations, alors que 41 % des Français ont dû restreindre leur chauffage l’hiver dernier.
L’Association Stop aux Violences Obstétricales et Gynécologiques (StopVOG) a lancé la première enquête nationale sur le consentement aux actes gynécologiques. Objectif : évaluer la qualité de la prise en charge du point de vue des patientes et patients, et mesurer l’application concrète de la loi Kouchner de 2002, qui impose un consentement libre et éclairé pour tout acte médical. Aucune donnée chiffrée n’existe à ce jour sur le respect de cette obligation en gynécologie. Cette enquête, accessible en ligne, s’adresse à toutes les personnes ayant consulté un ou une gynécologue, hors accouchement. Les résultats permettront de formuler des propositions pour améliorer les pratiques médicales, en s’appuyant sur les témoignages recueillis.
Le président de l'Association des maîtres restaurateurs Alain Fontaine a plaidé, ce lundi 4 août, en faveur de la suppression du plafond journalier des tickets-restaurant. Mais le gouvernement pourrait ne pas prendre en compte cette idée.
Alain Fontaine, président de l’Association Française des Maîtres Restaurateurs, plaide pour la suppression du plafond journalier de 25 euros applicable aux tickets restaurant, mais uniquement dans les établissements de restauration. Il propose une suppression toute l’année ou sur des périodes ciblées comme Noël ou les vacances, afin d’encourager les familles à utiliser pleinement leurs titres et soutenir la profession. Depuis l’élargissement du dispositif aux courses alimentaires, les restaurateurs estiment avoir perdu 1,5 milliard d’euros de chiffre d’affaires. Une réforme du système est d’ailleurs à l’étude par le gouvernement. Si certains restaurateurs espèrent un effet positif sur la consommation, d’autres, comme le syndicat GHR, préfèrent défendre un double plafond : 25€ pour les restos, 10€ pour la grande distribution. Du côté des clients, l’accueil est partagé.
Dans une note confidentielle révélée par Le Monde et consultée par RMC, l’Office antistupéfiants (Ofast) dresse un état alarmant du trafic de drogue en France. Selon ce rapport, le pays ne compte désormais plus aucune "zone blanche", l’offre de stupéfiants étant présente sur l’ensemble du territoire. La cocaïne, toujours plus pure et moins chère, circule massivement via des routes maritimes, terrestres et aériennes. En 2023, le narcotrafic aurait généré 7,3 milliards d’euros et impliqué près de 200.000 personnes. Au sommet de cette pyramide criminelle : une dizaine de trafiquants, opérant depuis l’étranger, en lien direct avec les cartels sud-américains. Le bilan est lourd : 367 assassinats ou tentatives enregistrés dans 173 villes. Les autorités évoquent un "tsunami blanc" et une violence extrême qui ne cesse de s’intensifier.
Un homme de 32 ans a été découvert poignardé lundi matin dans une zone boisée de Pont-de-Metz, près d’Amiens. Le corps, retrouvé dans une aire de sport très fréquentée, présente de graves mutilations, notamment au niveau de la gorge. La victime habitait à proximité du lieu du drame. D’abord décrite comme placée en croix, la position du corps a finalement été précisée par le parquet : les bras étaient repliés autour de la tête. Une enquête pour assassinat a été ouverte par le parquet d’Amiens. L’autopsie est prévue ce mardi matin pour tenter d’éclaircir les circonstances de ce crime qui bouleverse la commune.