
Accompagnante d'élève en situation de handicap à la retraite, elle ne touche pas sa prime de précarité
Nicole est une toute jeune retraitée de 63 ans. Jusqu’en août dernier, elle était AESH, accompagnante d’élèves handicapés dans une école primaire près de Toulouse. À la fin de son contrat, le rectorat aurait dû verser à Nicole une prime de précarité. Mais cet argent, un peu plus de 1.000€, elle l’attend depuis plus de 6 mois. Et pour elle, c’est vital. Cette prime de précarité, qui représente 10% brut des salaires perçus, elle aurait dû la recevoir dans un délai maximum d’un mois après la fin de son contrat, c’est la loi.
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