
De nombreux imams détachés sont encore en France
C'était une des promesses d'Emmanuel Macron en 2020 pour lutter contre le "séparatisme". La France n'accepte plus de nouveaux imams "détachés" depuis lundi, le 1er janvier. Ce sont des imams envoyés et rémunérés par d'autres pays. Gérald Darmanin l'a confirmé fin décembre en envoyant une lettre aux pays concernés : l’Algérie, le Maroc et la Turquie. Les trois États comptent à eux trois 300 imams qui ne pourraient plus exercer à partir du 1er avril 2024. Depuis, les 3 pays se sont organisés pour régler cette situation mais il reste encore de nombreux imams détachés notamment Algériens.
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