
Retraites : Emmanuel Macron "prêt à discuter"
Emmanuel Macron tend la main aux électeurs de gauche. Il se dit prêt à "bouger" sur son projet contesté de retraite à 65 ans : une concession inattendue qui a mûri tout au long de son déplacement de campagne dans le Nord et le Pas-de-Calais.
En effet, c'est du bassin minier qu'Emmanuel Macron a voulu détailler sa réforme. Travailler jusqu'à 65 ans permettra, selon lui, d'indexer les pensions sur l'inflation dès le 1er juillet et d'augmenter la retraite de base à 1100 euros. Mais face à l'insistance des questions des Français croisés sur le terrain durant toute cette journée, le président-candidat semble avoir bougé en temps réel. "Cette réforme ne se fera pas du jour au lendemain. Je ne veux pas diviser le pays", a-t-il assuré. Emmanuel Macron se dit même prêt à discuter du rythme et de l'échéance : la retraite à 65 ans en 2030 ne serait plus un dogme. En fonction du dialogue politique et social, le rallongement de la durée de cotisation pourrait s'arrêter avant, laisse entendre le candidat.
En effet, c'est du bassin minier qu'Emmanuel Macron a voulu détailler sa réforme. Travailler jusqu'à 65 ans permettra, selon lui, d'indexer les pensions sur l'inflation dès le 1er juillet et d'augmenter la retraite de base à 1100 euros. Mais face à l'insistance des questions des Français croisés sur le terrain durant toute cette journée, le président-candidat semble avoir bougé en temps réel. "Cette réforme ne se fera pas du jour au lendemain. Je ne veux pas diviser le pays", a-t-il assuré. Emmanuel Macron se dit même prêt à discuter du rythme et de l'échéance : la retraite à 65 ans en 2030 ne serait plus un dogme. En fonction du dialogue politique et social, le rallongement de la durée de cotisation pourrait s'arrêter avant, laisse entendre le candidat.
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