
Specque : "Il y a de l'inquiétude mais les signaux sont bons", à la cristallerie d'Arques
La cristallerie d'Arques était un symbole d'une industrie française impuissante et résignée face à la flambée des prix de l'énergie. Après des mois d'arrêt, les fours de l'usine ont redémarré, au grand plaisir de Frédéric Specque, délégué CGT, qui témoigne dans "Apolline Matin" : "C'est une bonne nouvelle on a redémarré quatre fours. Le 5e restera fermé définitivement" "On avait fermé des fours car le prix du gaz et de l'énergie en général était devenu beaucoup trop important pour que les marchés puissent l'accepter. Il y au eu beaucoup de chômage partiel de 2-3 à 14 jours par mois et donc beaucoup de perte de salaires. Il y a toujours 4 700 salariés à la cristallerie. Le plus dur semble derrière nous."
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