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Charles Matin - Page 10

Canicule: "Le port du short peut ne pas faire partie du dress code" en entreprise

Canicule: "Le port du short peut ne pas faire partie du dress code" en entreprise

Avec cette chaleur, s'habiller devient un vrai casse-tête, notamment pour vous messieurs, car le port de vêtements plus légers comme les shorts n’est pas toujours autorisé en entreprise. Certains employés estiment d’ailleurs que cela reste trop décontracté. Me David Guillouet, avocat en droit du travail au cabinet Voltaire, rappelle: "Dans le cadre de sa stratégie commerciale, une entreprise peut imposer un uniforme et considérer que le port du short ou des tongs ne fait pas partie du dress code."

Cold case: la famille de Sabine Dumont interpelle le ministre de la Justice

Cold case: la famille de Sabine Dumont interpelle le ministre de la Justice

La famille de Sabine Dumont, une fillette de 9 ans enlevée, violée puis tuée à Bièvres dans l’Essonne il y a 38 ans, interpelle le ministre de la Justice. Depuis tout ce temps, son meurtrier échappe à la justice malgré un ADN masculin retrouvé sur ses vêtements. Pour tenter de l’identifier, le pôle cold case de Nanterre a envoyé cet ADN aux États-Unis afin d’utiliser la généalogie génétique, une technique courante là-bas mais illégale en France. Mais depuis, plus de nouvelles: la demande reste bloquée, ce qui provoque colère et incompréhension chez la famille.

Coiffeurs en grève: "On vise les entreprises qui pratiquent illégalement"

Coiffeurs en grève: "On vise les entreprises qui pratiquent illégalement"

Cet après-midi, les coiffeurs manifesteront place de la République à Paris. À l’origine de cette mobilisation : l’Union nationale des entreprises de coiffure, qui dénonce des salons et barbers ne respectant pas le Code du travail, entraînant une concurrence déloyale. "On vise toutes les entreprises qui ont décidé d'entreprendre de manière illégale et qui s'installent de façon sauvage sans se déclarer", explique Christophe Doré, coiffeur en Normandie et président de l'Union nationale des entreprises de coiffure. 

Marignane : les écoliers chantent la Marseillaise chaque lundi matin

Marignane : les écoliers chantent la Marseillaise chaque lundi matin

À Marignane, le maire (DVD) Éric Le Dissès a décidé de faire chanter la Marseillaise aux enfants des écoles chaque lundi matin, pendant le temps périscolaire. « Ça fait longtemps que ça trotte dans ma tête, il fallait passer à l’action, le drapeau français et l’hymne sont trop souvent ignorés par bon nombre d’adultes français », explique-t-il. L’initiative, mise en place par la mairie qui gère le périscolaire, rencontre un franc succès auprès des enfants. « Ils sont plus qu’heureux », souligne le maire, précisant que même les enfants ne participant pas au périscolaire souhaitent se joindre au chant patriotique. « Je leur réponds qu’aimer son drapeau et chanter la Marseillaise, ce n’est pas faire de la politique », ajoute-t-il. Selon Éric Le Dissès, il est important que les enfants apprennent dès le plus jeune âge à aimer leur pays, leur drapeau et leur hymne national. « À quoi sert d’apprendre un chant si on ne le chante pas ? On ne le chante que lors des matches de foot », déplore-t-il. Il se réjouit également de l’enthousiasme des familles : « Pour eux, c’est formidable, quelque chose qui leur plaît beaucoup ». Fier de cette initiative, il affiche sa confiance : « J’ai foi en l’avenir et toutes les écoles de France chanteront le lundi matin la Marseillaise ».

EXCLU RMC : 83% des Français sont concernés par l’inconfort digestif

EXCLU RMC : 83% des Français sont concernés par l’inconfort digestif

Une étude exclusive commandée par Danone et dévoilée ce mercredi par RMC révèle que 83 % des Français souffrent d’inconfort digestif, un mal souvent sous-estimé. Pourtant, plus d’un tiers d’entre eux (38 %) ne font rien pour entretenir leur flore intestinale, tandis que 39 % hésitent à évoquer ce sujet, jugé encore tabou, avec leurs proches. Paradoxalement, 85 % des Français connaissent le microbiote intestinal, ce vaste écosystème bactérien essentiel à la santé. Pourtant, seulement un Français sur dix consomme la quantité recommandée de fibres quotidiennes, essentielles pour un bon équilibre intestinal. Environ 35 % des sondés affirment ressentir régulièrement des douleurs digestives. L’étude souligne également que les jeunes Français sont plus attentifs à leur santé intestinale et plus enclins à en parler avec leurs médecins. Dans leur alimentation quotidienne, 92 % consomment régulièrement du yaourt, et plus de 40 % en mangent au moins une fois par jour. Parmi les aliments bénéfiques recommandés figurent les yaourts, le kéfir, la choucroute, le pain, la bière avec modération, ainsi que l’hydratation. La diététicienne Emmanuelle Couturier insiste sur l’importance de prendre soin du microbiote intestinal, qui joue un rôle protecteur majeur, et recommande notamment la consommation d’aliments fermentés pour soutenir cette flore fragile.

Fête de la musique : que sait-on vraiment des piqûres sauvages ?

Fête de la musique : que sait-on vraiment des piqûres sauvages ?

Quatre jours après la fête de la musique, le phénomène des piqûres sauvages continue de semer le doute et l’inquiétude. Les autorités ont annoncé dimanche l’interpellation d’une quinzaine d’individus âgés de 19 à 44 ans, placés en garde à vue, sans qu’aucune poursuite ne soit à ce jour engagée. Le garde des Sceaux a lui-même souligné qu’aucun auteur des piqûres n’a encore été formellement identifié. Face à cette situation confuse, Gérald Darmanin a annoncé la mise en place imminente d’une circulaire de politique pénale visant à sanctionner les personnes ayant appelé à commettre ces actes via les réseaux sociaux. Le ministre de la Justice qualifie ces « jeux très malsains » comme responsables d’un engouement inquiétant et d’une vague de psychose dont les contours restent flous. Sur les 145 signalements de victimes, principalement des femmes, beaucoup ont été écartés, certaines étant liées à des piqûres d’insectes ou d’autres causes bénignes. Les analyses toxicologiques sont en cours mais aucune substance n’a encore pu être identifiée. Le phénomène oscille donc entre menace concrète et psychose collective.  La justice, elle,  se prépare à agir avec des moyens renforcés contre les incitateurs de ces agressions.