Tempête Louis: 27 départements maintenus en vigilance orange pour vents violents et crues

La France se prépare à un coup de vent avec le passage de la tempête Louis. Météo France a maintenu dans son bulletin de 16h, ce jeudi, 26 départements en vigilance orange pour vents violents. Les Deux-Sèvres et la Seine-Marne sont, eux, concernés par une vigilance orange crues.

Météo France a maintenu 27 départements en vigilance orange pour vents violents et crues dans son bulletin de 16h, ce jeudi. La vigilance orange pour pluie-inondation qui concernait la Vendée et les Deux-Sèvres a été levée. Les Deux-Sèvres restent toutefois en vigilance orange crues et sont rejoints par la Seine-Marne.

Les 26 autres sont en vigilance orange pour pour vents violents. Les départements concernés sont : tous les départements d'Île-de-France, les Pyrénées-Atlantique, les Hautes-Pyrénées, la Manche, le Calvados, l'Orne, la Seine-Maritime, l'Eure, l'Eure-et-Loir, le Pas-de-Calais, la Somme, l'Oise, le Nord, l'Aisne, la Marne, les Ardennes et la Meuse. Le Gers et la haute-garonne ont été rajoutés dans la matinée.

"La tempête Louis va se creuser ce jeudi après-midi en Manche puis Mer du Nord. Dans son sillage, des pluies marquées accompagnées de violentes rafales vont se produire sur une large moitié nord du pays, plus particulièrement sur les départements placés en vigilance orange", indique Météo-France.

Des trains annulés

Cette alerte météo pour "vents violents" a poussé la SNCF à suspendre la circulation de certains trains. Ces suspensions de circulation, destinées à "garantir la sécurité de tous", concernent des lignes TER des Hauts-de-France (Béthune-St Pol sur Ternoise; Arras-St Pol sur Ternoise; Beauvais-Abancourt le Tréport; Amiens-Compiègne; Creil-Beauvais et Paris-Laon), indique la SNCF sur son site internet.

"La reprise de la circulation sur ces lignes sera effective vendredi dans le courant de la matinée", a-t-elle précisé. "Des perturbations" sont également à prévoir jeudi en Bretagne sur les lignes Quimper-Brest et St Brieuc-Lannion en raison des risques de "forts vents".

Guillaume Descours Journaliste RMC