Aimez-vous votre prénom? Le débat qui a enflammé le standard de RMC

Selon un sondage réalisé auprès de 2.000 Britanniques, un parent sur sept regrette... le prénom donné à son enfant. La question a été posée aux auditeurs de RMC.

Plus à la mode, devenu trop coutumier, difficile à prononcer, de plus en plus de parents britanniques regretteraient leur choix de prénom donné à son enfant selon une étude.

L'étude révèle qu'un parent sur vingt choisit finalement d'appeler son enfant par un autre prénom tandis que 14% pensent même à entamer une procédure officielle pour modifier le prénom de leur enfant. 

"On finit par s'y habituer"

Une étude qui a particulièrement enflammé le standard de RMC ce jeudi matin. Matthieu, auditeur à Orléans, a ainsi raconté le pourquoi de son prénom:

"Quand ma mère était plus jeune, elle était fan du film 'La Boom' avec Sophie Marceau et du coup il y avait un célèbre Matthieu. Elle s'est toujours dit que si elle avait un petit garçon, elle l'appellerait Matthieu". 

Le jeune homme se dit aujourd'hui satisfait de son prénom. Tout comme le député de la France Insoumise, Adrien Quatennens, invité de la matinale ce jeudi matin: "On finit par s'y habituer" a concédé l'élu, avec un sourire.

Des traditions familiales derrière les prénoms

Derrière les prénoms peuvent se cacher une coutume familiale. Tel est le cas d'Aurélien, auditeur de RMC: "Dans notre famille, tous les prénoms commence par un A. Celui de mon épouse aussi. Nos enfants également". Un message signé par Aurélien, mais aussi Annabelle, Aldric, Andréa, Angélina, Agathe et Anzo... 

D'autres font des choix plus originaux mais ne regrettent rien. C'est le cas de Linda: "Mon fils s'appelle Faust et ma fille Lucretia et je ne regrette rien!", affirme-t-elle sur la page Facebook de "Bourdin Direct". 

Même chose pour Sandrine qui l'assure: "Je ne regrette pas du tout le prénom de ma fille, Loréna".

Certains auditeurs sont plus moqueurs quant aux choix qu'ont fait leurs proches pour leurs enfants: "Je connais une personne qui a prénommé sa fille Groseille ou encore, Thérébentine", commente Laly Bellule sur Facebook.

L'étude révèle qu'un parent britannique sur vingt choisit finalement d'appeler son enfant par un autre prénom tandis que 14% pensent même à entamer une procédure officielle pour modifier le prénom de leur enfant. 

Julien Vattaire