RMC a vu "Star Wars: l'Ascension de Skywalker": on vous raconte

Voilà déjà 42 ans que George Lucas a fait une entrée fracassante au cinéma avec son film "Star Wars", qui n'avait initialement été diffusé que... dans 32 salles.
Ce mercredi, pourtant, c'est une sortie mondiale que s'offre l'ultime opus de "La Guerre des étoiles": "Star Wars: The Rise of Skywalker".
Et la Force est toujours là: tout ce qui fait le sel qui fait chavirer les fans de la saga est là: des planètes inconnues, des combats de sabres laser, des courses de vaisseaux.
Sans oublier des légendes de la saga: Luke Skywalker, C3PO, l'arnaqueur au grand coeur Lando Calrissian mais aussi Princesse Leïa - toujours vivante malgré la disparition de Carrie Fischer -, sans oublier Rey et le sinistre adepte du côté obscur, Kylo Ren. Dans cet épisode, d'ailleurs, c'est bien l'empereur Palpatine, qui avait entraîné Dark Vador, qui revient.
L'héritage de la saga est parfois lourd à porter: comme avec Carrie Fischer, décédée il y a 3 ans, pour qui il a fallu accorder l'histoire avec des scènes tournées pour l'épisode précédent.
Autres éléments-clés de ce film: si on perd du temps à vouloir tout expliquer des origines de Rey, le personnage principal de cette nouvelle trilogie, le scénario donne une profondeur inespérée à son frère ennemi interprété par Adam Driver. Une réussite - qui, paroles de premiers spectateurs, fait tomber quelques larmes - pour le réalisateur J.J. Abrams, qui parvient malgré tout à rendre ces adieux émouvants, au moment de clôturer une saga venue d'une galaxie lointaine, très lointaine.