Un scorpion or sur le capot: "Vroooom" a testé la nouvelle Fiat Abarth 595

EN VIDÉO - Pour "Vroooom", Pauline Ducamp, notre journaliste RMC, a pu tester cette Italienne survitaminée.

Depuis quelques années, l’Abarth 595 s’est fait une place de choix dans le garage des citadins. Entre son petit gabarit et sa sonorité joyeuse, cette version survitaminée de la Fiat 500 pourrait se présenter comme la voiture idéale pour les citadins fans de sportives. Après avoir fêté son 70e anniversaire en 2019, à coups de séries spéciales, la griffe italienne revient avec une nouvelle édition limitée: la version Scorpioneoro.

Une carrosserie noire, des jantes alliage dorées de 17 pouces, un scorpion or sur le capot, cette Abarth 595 Scorpioneoro n’est pas faite pour passer inaperçue. Et tant mieux comme elle ne sera produite qu’à 2000 exemplaires au total. Une manière de rendre hommage à son histoire.

Ce modèle fait en effet référence à un modèle des années 70, l’Autobianchi A112 Abarth "Targa Oro", produit seulement à 150 exemplaires. Autobianchi est une filiale de Fiat à l’époque, Abarth se trouve également dans le giron de Fiat. Ensemble, les deux griffes ont construit une petite voiture sportive de 58 chevaux.

Un scorpion or sur le capot: "Vroooom" a testé la nouvelle Fiat Abarth 595 © RMC

Sur la version 2021, la puissance du moteur 1.4 T-Jet grimpe à 165 chevaux et ce n’est pas mal pour un petit modèle d’un peu plus d’une tonne, donnant ainsi un bon rapport poids-puissance de 6,4kg par cheval.

Le couple de 230Nm se fait aussi tout de suite sentir: Abarth annonce ainsi un 0 à 100 en 7,3 secondes, le tout pour un démarrage avec une boite mécanique. 

Mais le vrai plaisir, c’est de choisir la version équipée d’un toit ouvrant. Ce modèle est disponible à 27.390 euros. Comptez 2000 euros de moins pour la version classique.

Chaque semaine, la journaliste auto RMC, Pauline Ducamp, emmène les utilisateurs à la rencontre d’un modèle de voiture mythique ou d’un lieu emblématique de l’automobile pour tout connaître des coulisses de l’auto. 

Pauline Ducamp