Un businessman comme président de la République? "Il faut en finir avec les énarques"

Un businessman à la tête de l’Etat, c’est ce que souhaite Eric Brunet pour l’avenir du pays. Une idée qui lui vient des Etats-Unis après les tweets du président américain Donald Trump a General Motors, Ford et Toyota.

L’effet Trump se fait déjà ressentir. Pas encore investi à son poste de président des Etats-Unis, Donald Trump fait déjà changer la stratégie des entreprises américaines. Par le biais de tweets il s’en est directement pris à Ford qui voulait investir 1,6 milliard de dollars dans le centre du Mexique et construire une usine employant 2800 personnes. Menace du futur président: une taxe de 35%. Résultat, le constructeur a annoncé renoncer à un nouveau projet de délocalisation. Un comportement qui donne des idées à Eric Brunet et à Vincent, auditeur de Radio Brunet et patron d’une PME dans l’ingénierie.

Pour cet auditeur de RMC, "il faut en finir avec les énarques ou avec des gens qui sont élus grâce à l’argent des industriels, et donc qui n’osent pas leur taper dessus". Selon Vincent, "il faut des gens qui comprennent que quand on est actionnaire à hauteur de 20% d’un constructeur automobile, ou quand on en sauve un autre à coût de centaines de millions pendant la crise de 2008, on tape du poing sur la table et on dit 'maintenant vos véhicules si vous les vendez chez nous vous les faites chez nous'."

Radio Brunet avec A. Benyahia