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"Aux examens, je m'habille en noir intégral, et ça marche!" : ces superstitions improbables des Français

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Ce vendredi 13 juin est l'occasion de revenir sur certaines superstitions partagées par les auditeurs de RMC.

Les "vendredi 13" ne sont pas des jours comme les autres. Ce vendredi 13 juin sera le seul "vendredi 13 de cette année 2025, un jour qui rime souvent avec superstitions, chance ou malchance. La FDJ estime d'ailleurs qu'il y a trois fois plus de joueurs pour leurs loteries et grattages lors des ces occurrences.

59 % des Français affirment partager au moins "une croyance occulte" selon une étude Ifop datant de 2023, et certains Parisiens que nous avons interrogés nous ont partagé leurs grigris liés à la superstition:

"Je plie mes billets d'une certaine façon dans mon portefeuille, je ne mets pas de chaussures neuves sur une table... Ce sont des trucs très 'con', mais on m'a dit ça enfant et c'est resté en moi. Du genre: 'Je vais le faire quand même, au cas où...", concède une jeune trentenaire.

BON A SAVOIR - Certains ont juste peur du vendredi 13 et ça a un nom: la paraskevidékatriaphobie. En Espagne on redoute plutôt les mardis 13 et en Italie c'est plutôt le vendredi 17 qui porterait malheur.

La matinale 100% info et auditeurs. Tous les matins, Apolline de Malherbe décrypte l'actualité du jour dans la bonne humeur, avec un journal toutes les demies-heures, Charles Magnien, le relais des auditeurs, Emmanuel Lechypre pour l'économie, et Matthieu Belliard pour ses explications quotidennes. L'humoriste Arnaud Demanche vient compléter la bande avec deux rendez-vous à 7h20 et 8h20.
L'humeur de Charles : Vendredi 13, chance ou malheur ? - 13/06
3:29

"Je suis footballeur et j'ai quelques superstitions, par exemple mes protège-tibias j'ai gardé les mêmes depuis que j'ai douze ans ! Et même si je ne les mets plus je les garde avec moi au moins dans mon sac pour me dire qu'il y a quelque chose qui pourra me donner un peu de chance", témoigne de son côté un vingtenaire sportif.

2 cravates fétiche pour Emmanuel Lechypre

"Moi ça concerne surtout le jour des examens", nous raconte de son côté une étudiante.

"Je m'habille tout en noir comme si j'allais un enterrement, de la tête au pieds en passant par les sous-vêtements, les chaussettes... J'ai réussi tous mes examens comme ça donc je continue !", s'amuse-t-elle.

Des habits porte-bonheur, c'est ce qui marche aussi pour notre éditorialiste économique Emmanuel Lechypre : "Je suis un peu superstitieux: moi j'ai deux cravates fétiche."

"Il y a des gens aussi avec qui je ne regarde plus les matches de foot ! Il y en un qui m'a fait perdre la Coupe du monde 2022 et perdre face à la Suisse à l'Euro 2021, donc la finale du PSG je peux vous dire qu'on ne l'a pas faite ensemble", s'amuse-t-il.

J.A.