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Invité lundi de LCI, Eric Zemmour continue de s’attaquer… aux prénoms. ''Donner un prénom qui n’est pas français à son enfant, c’est se détacher de la France", explique le journaliste, qui plaide pour une loi obligeant les parents à choisir un prénom sorti du calendrier français. Ce serait faire de l’état civil "un support d’identité nationale" explique Baptiste Coulmont, maître de conférences à Paris 8 et auteur de Changer de prénom. De l’identité à l’authenticité.
Le ministère du Travail est en train de finaliser un "guide pratique du fait religieux en entreprise". Élaboré avec des associations de DRH et des spécialistes du droit du Travail pour faire connaitre la laïcité dans le monde de l'entreprise, il devrait être publié début octobre. La société Paprec, spécialisée dans le recyclage, a déjà instauré une charte de la laïcité.
À Calais, la construction d'un mur pour empêcher les migrants de grimper dans les camions fait réagir la GG Joëlle Dago-Serry. Pour elle ce mur "va stigmatiser la ville de Calais". La Grande Gueule deplore une "répétition malheureuse" de l'histoire comparant ce mur à celui de Berlin et en le qualifiant de "mur de la honte".
L'entreprise française Paprec a fait le choix d'imposer la neutralité dans ses murs. La société, spécialisée dans le recyclage, a mis en place une "charte de la laïcité". Un texte engagé dont les contours juridiques restent très flous.
Alors qu'Arnaud Montebourg semblait vouloir prendre ses distances par rapport au Parti socialiste, il s'est rendu ce week-end à une réunion des frondeurs à La Rochelle. Le candidat à la primaire PS ne semblait visiblement pas très à l'aise…
Alstom veut transférer sa production en Alsace, une décision qui touche 400 salariés, alors que l’Etat est actionnaire du constructeur de train.
Ce lundi dans Radio Brunet, débat autour des jihadistes français. En deuxième partie: "Alstom, c’est l’échec d’Emmanuel Macron!", estime Eric Brunet.
L'Etat peut-il sauver les 400 salariés du site Alstom de Belfort? Les syndicats le souhaitent vivement. Mais l'économiste Jacques Sapir estime que l'exécutif ne pourra pas grand-chose.
Pour l'ancien prix Nobel d'économie Joseph Stiglitz, la monnaie unique européenne est un frein à la prospérité. Il s'en prend également au "fétichisme des déficits", qui empêche selon lui les investissements nécessaires à la croissance. Bourdin Direct est une émission d’information dans laquelle interviennent en direct les acteurs de l’actualité."
Alstom est menacé de fermeture. La direction du constructeur ferroviaire, confronté à la perte d'un contrat de 140 millions d'euros, vient d'annoncer l'arrêt de la production sur le site de Belfort et cela, contre l'avis de l'exécutif. L'État doit-il intervenir davantage pour sauver la société ? La perte de ce contrat justifie-t-elle cette fermeture ? Eric Brunet et Laurent Neumann pointent du doigt l'hypocrisie des deux parties. La responsabilité est en effet largement partagée. L'État, pour sa part, en tant qu'actionnaire à 20% et client important de cette société, a manqué totalement d'initiatives. La direction de la société, elle, ne devrait pas utiliser la perte de cette commande comme menace de fermeture. - Bourdin Direct, du lundi 12 septembre 2016, sur RMC.
Pour l'ancien prix Nobel d'économie Joseph Stiglitz, la monnaie unique européenne est un frein à la prospérité. Il s'en prend également au "fétichisme des déficits", qui empêche selon lui les investissements nécessaires à la croissance.
Quelques semaines après la rentrée, ce n'est toujours pas facile de se réveiller à temps le matin. Anthony Morel nous a déniché une sélection de réveils connectés pour éviter qu'on ne se rendorme facilement. Le Ruggie, par exemple, est un réveil qui prend la forme de tapis de sol. Lorsqu'il sonne, il est indispensable de se lever et d'y placer les pieds afin de le désactiver. L'objectif est de nous sortir du lit du premier coup. - Bourdin Direct, du lundi 12 septembre 2016, sur RMC.
Une semaine après la violente agression de deux surveillants de prison à Osny dans la Val-d'Oise, le garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas a annoncé vouloir durcir "immédiatement" les conditions de détention de certains détenus radicalisés.