Chocolat de Pâques: ces 4 astuces pour se faire plaisir sans se ruiner

Des oeufs de Pâques en chocolat (illustration) - AFP
Le chocolat coûte de plus en plus cher. Selon le Syndicat du chocolat, le prix du cacao a été multiplié par 4,6 en deux ans. Les fabricants s’adaptent et forcément, les prix en rayon aussi: +14 % cette année selon l’UFC-Que Choisir.
Alors, pour ne pas faire exploser votre budget, on peut regarder les applications anti-gaspillage. Ces applis mobiles proposent des invendus à prix réduits, à récupérer avant qu’ils ne partent à la poubelle.
Par exemple, sur TooGoodToGo, un coffret-cadeau d’une valeur de 30€, avec plusieurs chocolats au lait et noir, était disponible jeudi pour 19€ seulement. Le site web Willy Anti-Gaspi, lui, a même une page consacrée aux chocolats de Pâques avec, par exemple, des mini oeufs Lindt à -30%.
Les chasses aux oeufs
Autre option: acheter en vrac comme sur le site Day by Day. Il y a des tablettes de chocolat noir aux framboises à 2,60€ les 100 grammes. Il existe également des sites comme La Fourche: cependant, pour avoir accès au catalogue, il faut payer 59 euros, un gros investissement de départ, mais ensuite, vous avez accès à des aliments bio à prix cassés.
Pour les plus fan des fourneaux, on peut aussi faire soi-même les confiseries. Avec 200 grammes de chocolat pâtissier, de la crème liquide, du beurre et du cacao en poudre, on peut faire des truffes maison. En grande distribution, elles se vendent entre 9 et 30 euros le kilo. Fait maison, elles coûtent autour de 15 euros le kilo. Moins que chez le chocolatier, plus que le produit premier prix, mais avec des ingrédients choisis et zéro additif. Car oui, avec la hausse du tarif du cacao, les fabricants sont tentés d’en mettre moins et de compenser par du sucre.
Dernière astuce: les chasses aux oeufs. Par exemple, au Mans, dimanche, les enfants de 2 à 10 ans sont invités dans les bois de l'Arche à ramasser les œufs. En plus de se régaler, c’est un super moment convivial, à passer en famille, avec des animations et ça fait vivre les communes. Et c’est généralement gratuit.