Paris: François Hollande et Julie Gayet rendent dingues leurs voisins

L'ancien président français François Hollande et son épouse l'actrice et productrice française Julie Gayet arrivent pour assister à un dîner de gala organisé par le Comité international olympique (CIO) et la présidence française au musée du Louvre à Paris, à la veille de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, le 25 juillet 2024. - AFP
Des voisins pour le moins dérangeants... François Hollande et Julie Gayet habitent un quartier habitellement très calme de la Campagne, dans le 20ème arrondissement de Paris. Mais le couple, qui tente de se faire discret, semble pourtant beaucoup importuner ses voisins, selon Le Canard Enchaîné.
En effet, la présence des policiers chargés de surveiller 24 heures sur 24 le domicile de l’ancien président n'enchante personne. L'équipe de sécurité serait en permanence tourner les moteurs d'une "Zoé électrique gris foncé la journée" et d'un "petit utilitaire à essence blanc la nuit", selon le journal.
L'hiver, pour le chauffage, et l'été, pour la climatisation... Et ce, juste en dessous des fenêtres des habitants.
Des moteurs "en permanence"
Le bruit semble énerver tout le monde, y compris le couple Hollande-Gayet lui-même. Pourtant, une solution avait été un temps avancée : installer une caméra reliée à la voiture stationnée plus loin. Mais selon Le Canard Enchaîné, le système tombe régulièrement en panne. Exédé, l'ancien président aurait même demandé la suppression de la surveillance... impossible pour un ancien président.
"C'est affligeant", réagit quant à lui le chroniqueur Pierre Rondeau dans Estelle Midi. "Quand on pense à l'argent que nous coûtent les anciens présidents... ", ajoute-t-il.
Aujourd'hui, les "ex" présidents bénéficient de sept collaborateurs et deux agents assurent leur protection durant les cinq années suivant la fin de leur mandat. Au-delà, les chiffres passent de sept collaborateurs à trois et de deux policiers à un.
"Mais bon, nous n'avons que deux anciens présidents en vie", tempère le chroniqueur Fred Hermel.