"C'est mieux que l'indifférence": Louis Sarkozy voit du positif dans la condamnation de son père Nicolas

En pleine tournée médiatique pour la promotion de son livre sur Napoléon, Louis Sarkozy est revenu sur le plateau de Grandes Gueules sur la condamnation de son père Nicolas, l'ancien président de la République désormais sous bracelet électronique.
Interrogé sur le mental de l'ancien chef de l'Etat condamné de manière définitive à un an de prison ferme pour corruption et trafic d'influence dans l'affaire des écoutes, son fils assure qu'il reste "'énergisé' (sic) et en plus grande forme" malgré sa privation partielle de liberté.
"Ca fait quoi de voir son père avec un bracelet électronique à la cheville?", lui a lancé Alain Marschall dans Les GG.
"Energisé par ce combat", Nicolas Sarkozy "en plus grande forme que jamais" selon son fils
"Nicolas Sarkozy a toujours été combattant, s'est toujours défini par ses combats et est face à un énième combat. Je le trouve 'énergisé' (sic) par ce combat et en plus grande forme que jamais", assure ce lundi Louis Sarkozy sur RMC et RMC Story.
"Il s'est défini toute sa vie dans la difficulté, voici une immense difficulté. Même dans cette difficulté-là, dans ce combat d'une grande injustice, je pense que c'est quand même mieux que l'indifférence", tente-t-il d'expliquer assurant que ce "combat" permet une hausse de la cote de popularité de Nicolas Sarkozy.
"Pas du tout affaibli"
Reconnaissant, "bien sûr", "souffrir" de la condamnation de son père qui risque aussi 7 ans de prison ferme dans l'affaire du financement de sa campagne par le régime libyen de Mouammar Kadhafi, Louis Sarkozy ne veut pas s'épancher sur son "monde intime". "Je préfère dire que c'est un combattant et qu'il n'est pas du tout affaibli et dans le combat, on sent que les volts s'augmentent".
Condamné définitivement à un an de prison ferme dans l'affaire des écoutes pour corruption et trafic d'influence, Nicolas Sarkozy ne peut désormais quitter son domicile qu'entre 8h et 20h, depuis la pose d'un bracelet électronique à sa cheville. Depuis sa condamnation l'ancien pensionnaire de l'Elysée se refuse a tout "commentaire médiatique".