Nicolas Sarkozy est définitivement condamné à trois ans d'emprisonnement dont un an ferme pour corruption et trafic d'influence dans le cadre des affaires des écoutes, après la décision de la Cour de cassation rendue publique ce mercredi. L'ancien président de la République va donc devoir porter un bracelet électronique pour exécuter sa peine.
Journée décisive pour Nicolas Sarkozy: la Cour de cassation se prononce ce mercredi sur sa condamnation en appel dans l’affaire Bismuth. L'ancien président de la République va être fixé sur son sort quant au port ou non d'un bracelet électronique.
L'auteur présumé du quintuple homicide survenu samedi dernier près de Dunkerque a été mis en examen pour trois assassinats et deux meurtres. Âgé de 22 ans, le suspect possédait une vingtaine d'armes à feu chez lui. Il apparaît qu'il aurait bel et bien prémédité trois des cinq délits. D'abord celui de son ancien patron, qui l'a licencié en octobre dernier, puis la mort de deux agents de sécurité, employés dans une entreprise que le tireur avait fréquentée.
C’est une journée décisive pour Nicolas Sarkozy. La Cour de cassation se prononce ce mercredi sur sa condamnation en appel dans ce que l’on appelle "L’affaire Bismuth". On prend le temps de bien comprendre le dossier avec Matthieu Belliard
"Dans les affrontements entre bandes, l'utilisation d'armes c'est le cas dans 44%", indique Laurent Nuñez, Préfet de police de Paris. "Depuis le début de l'année 370 jeunes ont été déférés", ajoute-t-il. Il appelle à ce que "les parents jouent leur rôle"
Sur RMC, ce mercredi matin, le préfet de police de Paris Laurent Nunez dévoile les chiffres des affrontements entre bandes après la mort d'un jeune de 16 ans devant un lycée du 13e arrondissement. En 2024, il y en a eu 98 dans l'agglomération parisienne, en légère hausse.
"L'âge moyen des personnes qui appartiennent à ces bandes est de 16 ans et 10 mois. L'année dernière 17 ans et 10 mois.", explique Laurent Nuñez, Préfet de police de Paris. "Il y a un rajeunissement" ajoute-il
"Le phénomène des bandes est en augmentation en 2024", explique Laurent Nunez, préfet de police de Paris. "Nous sommes à 98 affrontements cette année", précise-t-il. "20% des affrontements entre bandes parisiennes touchent à un établissement scolaire", ajoute-il
L'enquête se poursuit après la mort d'un adolescent poignardé lors d'une rixe mardi matin à proximité d'un lycée du 13e arrondissement. "Ce fait dramatique se rattache à un affrontement entre bandes" explique Laurent Nunez, préfet de police de Paris
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Nicolas Sarkozy, condamné l'année dernière dans l'affaire des écoutes téléphoniques pour corruption à trois ans de prison, dont un an ferme à purger sous bracelet électronique, connaîtra l'issue de son pourvoi en cassation ce mercredi.
Ce mercredi, la Cour de cassation doit rendre sa décision dans l'affaire dite "des écoutes". La condamnation de Nicolas Sarkozy pour corruption et trafic d'influence pourrait donc être confirmée. Si le pourvoi est rejeté, l'ancien chef d'État risque la pose d'un bracelet électronique, dont les modalités seront fixées par un juge d'application des peines. Pour l'heure, l'avocat de Nicolas Sarkozy, Thierry Herzog, a bon espoir d'obtenir gain de cause.
Un adolescent de 16 ans a été mortellement poignardé lors d'une rixe entre bandes rivales mardi matin à Paris. Un suspect a été interpellé mais "il est trop tôt pour affirmer s'il a directement été impliqué dans ce décès", a précisé le parquet. Au total, une dizaine de jeunes auraient pris la fuite. Un nouveau drame qui vient s'ajouter aux autres incidents survenus cette année. Depuis le mois de mai, huit affrontements ont été constatés.
Une enquête a été ouverte à la suite de la "découverte d'une effraction et de dégradations au domicile secondaire" de Jean-Luc Mélenchon près de Montargis (Loiret), a indiqué mardi auprès le parquet.
Paul D., un jeune de 22 ans sans emploi, a été mis en examen pour "assassinat" et "meurtre" dans la tuerie dites de Dunkerque samedi 14 décembre 2024.
Le tribunal administratif de Limoges a ordonné mardi à l'administration pénitentiaire (AP) de prendre des mesures d'urgence pour améliorer les conditions de détention au sein de la maison d'arrêt de la ville, jugées indignes, sous peine d'astreinte.
Un adolescent a été tué par arme blanche mardi 17 décembre devant le lycée Rodin dans le XIIIe arrondissement de Paris lors d'une rixe entre bandes rivales. L'enquête a été requalifiée en "assassinat", a indiqué le parquet de Paris.
Un à 16 ans de réclusion criminelle ont été requis contre les accusés au procès Paty. Ils étaient jugés pour leur implication à divers degrés dans l'assassinat du professeur. Des réquisitions jugées insuffisantes par les parties civiles.
Le verdict du procès des viols de Mazan doit être prononcé ce jeudi. Avant que la cour ne parte en délibération, les 51 accusés ont pris la parole pour la dernière fois ce lundi. Et si l'ex-époux de Gisèle Pelicot a renouvelé ses excuses, ce n'est pas le cas de la plupart de ses co-accusés.
Une rixe aux abords du collège-lycée Rodin, dans le XIIIe arrondissement de Paris, a conduit à la mort d'un adolescent âgé de 16 ans ce mardi.
Placé à l’isolement à la prison de Bordeaux-Gradignan, Pierre Palmade est sous étroite surveillance selon une note de service révélée par Le Figaro.
Le parquet national anti-terroriste a requis des peines allant d'un à seize ans d'emprisonnement à l'encontre des accusés au procès de l'assassinat de Samuel Paty. Pour deux des huit accusés, le chef d'accusation de "complicité d'assassinat terroriste" a été requalifié en celui d'"association de malfaiteurs terroriste". Des réquisitions jugées largement insuffisantes par les parties civiles.
Lundi, les 51 coaccusés se sont exprimés pour la dernière fois au procès dit des viols de Mazan. Certains en ont profité pour remercier la cour, d'autres pour renouveler leurs excuses auprès de Gisèle Pelicot. À la barre, Philippe L. n'avait "rien à ajouter", si ce n'est qu'il faisait confiance à la justice. Jugé pour viols en réunion, ce jardinier s'est rendu chez les Pelicot le 7 juin 2018. Le sexagénaire, qui a déjà effectué 11 mois de détention provisoire, n'envisage pas de retourner en prison.
Les premiers hommages aux victimes du quintuple meurtre dans le Nord ont eu ce lundi soir à Dunkerque. Si le suspect, toujours en garde à vue ce mardi matin, n'a pas expliqué son geste concernant la mort de deux migrants, il avait travaillé pour sa première victime avant de s'en prendre à deux salariés d'une autre entreprise.
L'adolescent qui a reconnu avoir mortellement poignardé Inès, 15 ans, a été mis en examen lundi. Âgé lui aussi de 15 ans, il a expliqué s'en être pris à elle pour lui voler son téléphone. Dans le lycée de la jeune fille, où il est difficile pour les autres élèves de ne pas penser à elle, une cellule psychologique a été ouverte. Nombreux étaient ceux qui connaissaient Inès et qui gardent un même souvenir d'elle: une adolescente souriante, heureuse et sans histoire.
Pierre Palmade est incarcéré depuis une semaine à la prison de Bordeaux-Gradignan et c’est un détenu pas comme les autres. Communications, échanges extérieurs, palpations à chaque entrée et sortie de la cellule...absolument tout est surveillé.
48 heures après le quintuple meurtre survenu près de Dunkerque, les habitants de Ghyvelde sont toujours sous le choc. Le tireur présumé était l'un de leurs voisins. C'est aussi dans ce village qu'il s'est rendu samedi en fin d'après-midi. Pour le moment, la piste d'une vengeance professionnelle est privilégiée, l'auteur présumé des faits avait travaillé dans les deux entreprises où étaient employées trois des cinq victimes.
Un adolescent de 15 ans a été mis en examen ce lundi 16 décembre pour vol avec violence ayant entraîné la mort, après le décès d'une adolescente qu'il a avoué avoir poignardée pour lui voler son portable, selon le parquet de Limoges.
Quarante-huit heures après le quintuple meurtre survenu samedi dans les environs de Dunkerque, la piste d'une vengeance professionnelle se dessine, le tireur présumé ayant travaillé pour sa première victime ainsi qu'au sein de l'entreprise où exerçaient les deux suivantes.
En Italie, les aveux d'un chef mafieux repenti ont permis de résoudre le meurtre de Paul-Félix Paoli, restaurateur corse assassiné en 2023. Une enquête en collaboration entre les autorités italienne et françaises, qui relance le débat sur le statut de repenti.
Des peines d'un an de prison à seize ans de réclusion ont été requises au procès de l'assassinat de Samuel Paty ce lundi 16 décembre 2024.
Le parquet antiterroriste a exclu la complicité d'assassinat terroriste pour deux accusés au procès de Samuel Paty. Naïm Boudaoud et Azim Epsirkhanov, amis d'Abdoullah Anzorov, l'islamiste radical qui avait assassiné l'enseignant, sont toujours accusés d'avoir aidé le terroriste.
Le Conseil d'Etat va se pencher sur la question des notes de frais de la maire de Paris Anne Hidalgo qui se refuse toujours à les rendre publiques.
Deux policiers hors service ont été violemment agressés à la sortie d'un bar de Nice, dans la nuit de jeudi à vendredi. Les faits ont été filmés et cinq suspects ont été arrêtés. Ils ont été relâchés sous contrôle judiciaire et doivent être jugés ce mardi. Une décision qui ulcère le syndicat de police Alliance, qui dénonce "un lynchage" et menace d'actions.
Dominique Pelicot, le principal accusé de l'affaire des viols de Mazan, a demandé à sa famille "d'accepter ses excuses" au procès ce lundi matin et a salué le "courage" de sa femme Gisèle, qu'il a droguée pour la violer avec des dizaines d'autres hommes.
INFO RMC: Une adolescente de 15 ans a été mortellement poignardée vendredi dernier près de Limoges. La police a retrouvé son corps après avoir interpellé l'auteur présumé, lui aussi âgé de 15 ans. Actuellement en garde à vue, il a avoué être l'auteur des coups de couteau. Il a expliqué avoir tendu un guet-apens à la jeune collégienne, après lui avoir donné rendez-vous via Snapchat, dans le but de lui voler son téléphone portable.
27 parents d'élèves ont été condamnés pour l'absentéisme de leur enfant au tribunal de Narbonne, jeudi dernier. Pour chaque jour d'absence injustifiée, des contraventions allant jusqu'à 750 euros peuvent être distribuées. "Un enfant déscolarisé, alors même qu'il n'y a pas de justifications, c'est une infraction pénale", précise Eric Camous, procureur de la République à Narbonne
57 parents d'élèves ont été condamnés pour l'absentéisme de leur enfant au tribunal de Narbonne, jeudi dernier. Pour chaque jour d'absence injustifiée, des contraventions allant jusqu'à 750 euros peuvent être distribuées. "On leur a demandé de faire le nécessaire pour faire en sorte que leurs enfants soient scolarisés et lorsqu'ils arrivent à l'audience, il y a encore de bonnes raisons alors même que tout a été déployé", a regretté Éric Camous, le procureur.
57 parents d'élèves ont été condamnés à des contraventions de catégorie 4 pour l'absentéisme de leur enfant, à l'école ou au collège, à Narbonne. C'est le procureur, Éric Camous, qui est à l'origine de cette expérimentation. Pour chaque jour d'absence injustifiée, les parents peuvent écoper d'une amende allant jusqu'à 750 euros. "On leur a demandé de faire le nécessaire pour faire en sorte que leurs enfants soient scolarisés et lorsqu'ils arrivent à l'audience, il y a encore de bonnes raisons alors même que tout a été déployé", a regretté Éric Camous, le procureur.
Deux jours après le quintuple meurtre dans le Dunkerquois, le suspect est toujours en garde à vue. Le mobile de son périple macabre reste flou. Parmi les cinq personnes tuées par arme à feu, il y a deux vigiles, dont l'un d'eux, Marc, était connu pour sa passion pour les sports mécaniques.
Après trois mois et demi d'audiences, les 51 hommes jugés au procès des viols de Mazan ont une dernière occasion de s'exprimer, ce lundi 16 décembre. Puis la cour criminelle de Vaucluse va se retirer pour délibérer, pour un verdict très attendu, a priori ce jeudi 19 décembre.
La parole est donnée pour la dernière fois aux accusés au procès des viols de Mazan, ce lundi, avant que la cour ne se retire pour délibérer. Comme l'ont fait leurs avocats depuis deux semaines, les coaccusés vont tenter de convaincre de leur innocence ou renouveler leurs excuses auprès de Gisèle Pelicot. C'est surtout l'occasion de demander l'indulgence de la cour, qui doit rendre son verdict le 19 décembre. Sauf si elle a besoin de plus de temps pour délibérer sur le sort des 51 accusés.
Cinq meurtres ont été commis, le 14 décembre, aux alentours de Dunkerque. Le suspect, âgé de 22 ans, s'est rendu dimanche à la gendarmerie, plusieurs armes à feu ont été retrouvées dans son véhicule. Parmi les victimes, deux vigiles dont Marc, qui était connu pour sa passion des sports mécaniques. Près du circuit où il était bénévole, certaines de ses connaissances, bouleversées, témoignent.
Deux agents de police ont été agressés dans le Vieux-Nice dans la soirée du 12 au 13 décembre, avant minuit. Ils n'étaient pas en service au moment des faits mais ont été victimes de multiples blessures. Le service local de la police judiciaire de Nice a été chargé de l'enquête. Cinq interpellations ont eu lieu et malgré la demande du procureur, les auteurs ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire. Leur comparution aura lieu le 17 décembre.
Deux agents de police ont été agressés dans le Vieux-Nice dans la soirée du 12 au 13 décembre, avant minuit. Ils n'étaient pas en service au moment des faits mais ont été victimes de multiples blessures. Le service local de la police judiciaire de Nice a été chargé de l'enquête. Cinq interpellations ont eu lieu et malgré la demande du procureur, les auteurs ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire. Leur comparution aura lieu le 17 décembre.
Ce dimanche 15 décembre, une homme de 21 a été tué à Saint-Vallier, dans la Drôme. Une voisine, soupçonnée du meurtre, a été placée en garde à vue.
Le corps d'une jeune fille de 15 ans a été retrouvé dimanche 15 décembre près de Limoges, victime de plusieurs coups de couteau. Le jeune homme, de 15 ans également, avec qui elle avait rendez-vous, a été interpellé et a reconnu être l'auteur des coups mortels.
Un jeune homme de 22 ans est soupçonné d’avoir tué cinq personnes samedi 15 décembre près de Dunkerque. Un quintuple meurtre qui laisse tout un département dans l’incompréhension la plus totale. Voici ce que l’on sait à ce stade.
Une femme a été hospitalisée en urgence absolue après un incendie d'origine volontaire qui a également provoqué l'évacuation de 19 habitants ce dimanche 15 décembre à Poitiers.
L'individu âgé de 22 ans qui a avoué le meurtre de 5 personnes samedi, près de Dunkerque, a été mis en examen. Il était inconnu des services de police. Deux migrants font partie des victimes.
